15.07.2012, 09:00
Super pour la correction des points souscrits en l'absence de « a » explicite.
Pour le lambë en Tengwar Quenya, je viens de tomber sur un exemple de tilde souscrit en dessous de la panse du < lambë >... Mouais, j'aurais mieux fait de me taire, vu que c'est attesté. (Cela dit, pas vu d'exemple de point souscrit en dessous de la panse, donc fallait au moins modifier ce point-là.) D'ailleurs, un truc que je n'ai pas testé, ce sont les deux points souscrits du « y », qu'il faut positionner à l'intérieur de la panse du < lambë >, eux aussi.
Pour ma deuxième remarque, je tiens à souligner que le mode du PE 18, p. 70, n'est pas du quanta sarmë : seuls « o » et « u » sont écrits avec des tengwar ; « e » et « i » emploient les tehtar habituels (à noter que c'est un mode assez simple au final, qui pourrait avec avantage figurer sur le transcripteur). Cela dit, j'admets : c'est le seul exemple que j'ai trouvé où les deux points du « y » sont suscrits. Il semble donc qu'il faille employer ce mode pour mettre le « y » au-dessus des tengwar.
Par contre, si tu as le temps pour créer des options supplémentaires, il y a deux autres façons attestées de noter le « y », qui elles sont bien attestées dans les modes avec tehtar :
- trois points souscrits en triangle inversé (l'équivalent d'un « a » en miroir en dessous des tengwar)
- utilisation systématique du < anna > quelque soit la position dans le mot et sans rajouter les deux points
Tu trouveras une liste assez exhaustive des signes de ponctuation attestés (en particulier « guillemets » et « parenthèses ») sur cette page, avec les références des textes de Tolkien correspondant. Contrairement à ce que tu supposes, ce sont des textes connus depuis longtemps, je ne doute donc pas que tu les aies. Si jamais c'était nécessaire, n'hésite pas à me contacter pour un scan.
Bon, maintenant, faut qu'on voit avec nos spécialistes informatiques comment intégrer ton transcripteur sur le site.
Pour le lambë en Tengwar Quenya, je viens de tomber sur un exemple de tilde souscrit en dessous de la panse du < lambë >... Mouais, j'aurais mieux fait de me taire, vu que c'est attesté. (Cela dit, pas vu d'exemple de point souscrit en dessous de la panse, donc fallait au moins modifier ce point-là.) D'ailleurs, un truc que je n'ai pas testé, ce sont les deux points souscrits du « y », qu'il faut positionner à l'intérieur de la panse du < lambë >, eux aussi.
Pour ma deuxième remarque, je tiens à souligner que le mode du PE 18, p. 70, n'est pas du quanta sarmë : seuls « o » et « u » sont écrits avec des tengwar ; « e » et « i » emploient les tehtar habituels (à noter que c'est un mode assez simple au final, qui pourrait avec avantage figurer sur le transcripteur). Cela dit, j'admets : c'est le seul exemple que j'ai trouvé où les deux points du « y » sont suscrits. Il semble donc qu'il faille employer ce mode pour mettre le « y » au-dessus des tengwar.
Par contre, si tu as le temps pour créer des options supplémentaires, il y a deux autres façons attestées de noter le « y », qui elles sont bien attestées dans les modes avec tehtar :
- trois points souscrits en triangle inversé (l'équivalent d'un « a » en miroir en dessous des tengwar)
- utilisation systématique du < anna > quelque soit la position dans le mot et sans rajouter les deux points
Tu trouveras une liste assez exhaustive des signes de ponctuation attestés (en particulier « guillemets » et « parenthèses ») sur cette page, avec les références des textes de Tolkien correspondant. Contrairement à ce que tu supposes, ce sont des textes connus depuis longtemps, je ne doute donc pas que tu les aies. Si jamais c'était nécessaire, n'hésite pas à me contacter pour un scan.
Bon, maintenant, faut qu'on voit avec nos spécialistes informatiques comment intégrer ton transcripteur sur le site.
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland