« Mon cœur parle enfin clairement : le sort du Porteur n'est plus entre mes mains. La Compagnie a joué son rôle. Mais nous qui restons, nous ne pouvons abandonner nos compagnons tant qu'il nous reste quelque force. »
SdA, Livre IV, chap. 1.
Comment Aragorn pouvait-il dire en quenya : « Mon cœur parle enfin clairement » ? À cette question répondent les « Notes sur “Óre” », initialement parues dans le VT 41. Ce texte de J.R.R. Tolkien s’intéresse aussi à la nature de la conscience chez les Elfes et chez les Hommes, à la première Chute de l’Homme et aux relations entre les Eruhíni et Ilúvatar. Cette traduction a été gracieusement autorisée par le Tolkien Estate et l'équipe éditoriale de Vinyar Tengwar.
Et pour ceux qui en souhaitent toujours plus, voici deux nouveaux articles d’Arden R. Smith, qui viennent enrichir notre série d’essais sur les traductions de l’œuvre de Tolkien : « Qu’est-ce qui fâche le plus les araignées : « Görbeláb » ou « Sputaveleno » ? », ainsi que « Proudfoots et Proudfeet ». À noter que ce dernier texte bénéficie d’informations supplémentaires par rapport à la version originale du VT 41, lesquels nous ont gracieusement été communiqués par Arden R. Smith.
Enfin, le classique article de synthèse porte cette fois sur les lettres gnomiques, l’un des tous premiers alphabets élaborés par Tolkien pour les Noldor. C’est d’ailleurs l’occasion de dévoiler une toute nouvelle section des Langues, portant sur les Premières versions des systèmes d’écriture inventés par Tolkien.
SdA, Livre IV, chap. 1.
Comment Aragorn pouvait-il dire en quenya : « Mon cœur parle enfin clairement » ? À cette question répondent les « Notes sur “Óre” », initialement parues dans le VT 41. Ce texte de J.R.R. Tolkien s’intéresse aussi à la nature de la conscience chez les Elfes et chez les Hommes, à la première Chute de l’Homme et aux relations entre les Eruhíni et Ilúvatar. Cette traduction a été gracieusement autorisée par le Tolkien Estate et l'équipe éditoriale de Vinyar Tengwar.
Et pour ceux qui en souhaitent toujours plus, voici deux nouveaux articles d’Arden R. Smith, qui viennent enrichir notre série d’essais sur les traductions de l’œuvre de Tolkien : « Qu’est-ce qui fâche le plus les araignées : « Görbeláb » ou « Sputaveleno » ? », ainsi que « Proudfoots et Proudfeet ». À noter que ce dernier texte bénéficie d’informations supplémentaires par rapport à la version originale du VT 41, lesquels nous ont gracieusement été communiqués par Arden R. Smith.
Enfin, le classique article de synthèse porte cette fois sur les lettres gnomiques, l’un des tous premiers alphabets élaborés par Tolkien pour les Noldor. C’est d’ailleurs l’occasion de dévoiler une toute nouvelle section des Langues, portant sur les Premières versions des systèmes d’écriture inventés par Tolkien.
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland