19.01.2007, 16:38
Une humble tentative pour savoir si je suis encore capable de composer quelques vers tolkienniens entre deux devoirs...
Le choix du Westfold est presque innocent (comprenne qui pourra.)
Le manque absolu de références chevalines est voulu (ibidem.)
Dans les brumes incandescentes
D’un occident où s’engloutit
La coupe d’or étincelante
D’un astre qui grogne et gémit,
Au-delà des plaines de cendres
Où la couleur s’évanouit
Et de ces sinueux méandres
Où les eaux gonflent trop de lits,
Par-devers ces forêts obscures
Où trop souvent le jour pâlit
Et où les frondaisons censurent
Le vol de l’aigle vers l’oubli,
Au pied de sinistres corniches
Où le froid brûle en plein midi,
Inculte roche et lande en friche,
Chaos de misère et folie,
Verdoient des champs inconcevables
Où croissent vertu et clarté,
Poudroie un pays dissemblable,
C’est le Westfold, ô frère aimé.
Divitiac, pour vous servir
Le choix du Westfold est presque innocent (comprenne qui pourra.)
Le manque absolu de références chevalines est voulu (ibidem.)
Dans les brumes incandescentes
D’un occident où s’engloutit
La coupe d’or étincelante
D’un astre qui grogne et gémit,
Au-delà des plaines de cendres
Où la couleur s’évanouit
Et de ces sinueux méandres
Où les eaux gonflent trop de lits,
Par-devers ces forêts obscures
Où trop souvent le jour pâlit
Et où les frondaisons censurent
Le vol de l’aigle vers l’oubli,
Au pied de sinistres corniches
Où le froid brûle en plein midi,
Inculte roche et lande en friche,
Chaos de misère et folie,
Verdoient des champs inconcevables
Où croissent vertu et clarté,
Poudroie un pays dissemblable,
C’est le Westfold, ô frère aimé.
Divitiac, pour vous servir