16.04.2018, 23:17
De mon parapet avec vue sur la mort,
Je finis toujours par y poser mon regard
Car celui-ci reste bien vide aux airs hagards
En songeant à ceux mort, aux champs du Pelennor;
De ma meurtrière donnant sur le trépas
Je vois le moment où, ce rempart s'écroulant
Sous les coups de bélier, dans un râle chantant;
Tandis que les légions semblent presser le pas.
C'est lorsqu'un vil ogre perdant toute patience,
Leva haut son arme dans ce ciel d'azur
il est indéniablement, sans demi-mesure,
Venu en personne délivrer sa pitance.
Je finis toujours par y poser mon regard
Car celui-ci reste bien vide aux airs hagards
En songeant à ceux mort, aux champs du Pelennor;
De ma meurtrière donnant sur le trépas
Je vois le moment où, ce rempart s'écroulant
Sous les coups de bélier, dans un râle chantant;
Tandis que les légions semblent presser le pas.
C'est lorsqu'un vil ogre perdant toute patience,
Leva haut son arme dans ce ciel d'azur
il est indéniablement, sans demi-mesure,
Venu en personne délivrer sa pitance.