09.04.2004, 09:43
3 : La mort !
Lennemi a jeté, ici, un trouble,
Confondant la mort aux longues ténèbres.
Du bien il accouche le mal funèbre,
Et de lespoir cest la peur quil dédouble.
Soldats, fiers guerriers, mes amis, mes frères,
Ne craignez point la mort qui nous délivre
De tant de souffrances. Et nous rend ivre
De ce bonheur : Contempler notre Père.
La mort est Demeure notre destin,
Ce don, quà la fin, même les Puissants
Nous envierons. Puisquil nous sort du Temps,
De ses malheurs. Nous laissant ce Matin
Eternel, la Paix sereine, enfantine
Ou lâme ressent les douceurs divines.
----------------------------------------------------
Merci davoir aprécié et dêtre impatient
Et voici le petit dernier. Je suis conscient
Que toutes mes rimes et vers arrive, vienne
De ce que minspire notre maitre Tolkien.
Je souhaiterais le remercier dilluminer
Ma vie, mais tous mes mots demeurent impuissants
Fragiles devant ses textes evanescent.
Je ne peux que pleurer, et mes mots lui dédier.
Mes larmes, doucement, accompagnent les pluies.
Entre ses mains, je remets lespoir de ma vie,
Pour que laube de mon éternité naissante
Eclipse les beautés de ce monde asservi,
Les merveilles de la lumière évanescente
Dun soleil rouge comme sang, en fin de vie.
Lennemi a jeté, ici, un trouble,
Confondant la mort aux longues ténèbres.
Du bien il accouche le mal funèbre,
Et de lespoir cest la peur quil dédouble.
Soldats, fiers guerriers, mes amis, mes frères,
Ne craignez point la mort qui nous délivre
De tant de souffrances. Et nous rend ivre
De ce bonheur : Contempler notre Père.
La mort est Demeure notre destin,
Ce don, quà la fin, même les Puissants
Nous envierons. Puisquil nous sort du Temps,
De ses malheurs. Nous laissant ce Matin
Eternel, la Paix sereine, enfantine
Ou lâme ressent les douceurs divines.
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Merci davoir aprécié et dêtre impatient
Et voici le petit dernier. Je suis conscient
Que toutes mes rimes et vers arrive, vienne
De ce que minspire notre maitre Tolkien.
Je souhaiterais le remercier dilluminer
Ma vie, mais tous mes mots demeurent impuissants
Fragiles devant ses textes evanescent.
Je ne peux que pleurer, et mes mots lui dédier.
Mes larmes, doucement, accompagnent les pluies.
Entre ses mains, je remets lespoir de ma vie,
Pour que laube de mon éternité naissante
Eclipse les beautés de ce monde asservi,
Les merveilles de la lumière évanescente
Dun soleil rouge comme sang, en fin de vie.