Il est vrai que je suis fourbu,
La coupe était pleine ; Il l'a bu,
Ce vil démon verbophage
Tout droit revenu d'un autre âge.
Je me sens comme démuni
Face à ce succube impuni
Qui a sucé toute la verve,
Que j'avais pu mettre en réserve.
Retirez moi ce parasite,
Pour que revienne le transit
Des mots, des vers et des strophes.
Ça me rongé de l'intérieur
Et ça provoque de la peur
Tout proche de la catastrophe.
La coupe était pleine ; Il l'a bu,
Ce vil démon verbophage
Tout droit revenu d'un autre âge.
Je me sens comme démuni
Face à ce succube impuni
Qui a sucé toute la verve,
Que j'avais pu mettre en réserve.
Retirez moi ce parasite,
Pour que revienne le transit
Des mots, des vers et des strophes.
Ça me rongé de l'intérieur
Et ça provoque de la peur
Tout proche de la catastrophe.