27.10.2017, 16:48
Arpentant Tyrn Gorthad un matin de Tuilë
Il m'apparaît, discret, dans le soleil hâlé,
Parmi les tertres, qui, dans le lierre se niche
Et se noie dans la beauté d'un mouroir en friches.
Un tombeau clandestin au cœur des sépultures
Est venu se confier aux seins de la nature,
Érigé dans la lumière et baisant le ciel
Qui lui donne en retour les froideur éternelle.
Ici je reviendrai pour m'enivrer encore,
De la mise en abîme aux splendeurs de l'aurore
Que m'offre cette endroit envoûtant et funèbre,
Rien ici n'est triste, dans ces douces ténèbres.
Il m'apparaît, discret, dans le soleil hâlé,
Parmi les tertres, qui, dans le lierre se niche
Et se noie dans la beauté d'un mouroir en friches.
Un tombeau clandestin au cœur des sépultures
Est venu se confier aux seins de la nature,
Érigé dans la lumière et baisant le ciel
Qui lui donne en retour les froideur éternelle.
Ici je reviendrai pour m'enivrer encore,
De la mise en abîme aux splendeurs de l'aurore
Que m'offre cette endroit envoûtant et funèbre,
Rien ici n'est triste, dans ces douces ténèbres.