29.05.2017, 22:13
Je ne sais pas si j'en ai fait déjà part, si oui, c'était il y a longtemps...
Faible la voix des elfes marchant sur les feuilles
Dans l'ombre des forêts ils chantaient l'ancien âge
Et n'entendaient leur pas ni loups ni écureuil
Quand du monde vieilli ils quittaient les rivages
Ils s'en allaient errants et rares les royaumes
Où ils vivaient encore, joyeux et prospères
Et l'on voyait la nuit des ombres de fantômes
Passer dans les forêts portant une lumière
La vie était pour eux comme un lent crépuscule
Et dans le cœur mortel des enfants de leur sang
Ce n'est pas étonnant si maintenant il brûle
Un désir de forêts, d'étoiles, d'océans
Entends frapper les pas au pied de ta maison
La pâle lune monte dans un ciel immense
Dans les airs un instant des bribes de chansons
Tandis que de leur pied ils marquent la cadence
Ou vois dans la clairière de forêts ombreuses
Quand les feuilles d'argent tout doucement se voilent
Ils se sont penchés sur une flamme joyeuse
Comme jadis un chant monte vers les étoiles
Pourquoi donc voudrais tu que le passé soit mort ?
Dans la nuit du Comté ils passent en silence
D'eux tu ne verrais rien que la lune, et tu dors
La route va sans fin et ce monde est immense
Et je suis de ceux là qui vont par les chemins
Errant pour le plaisir d'errer dans les collines
Mais surmontant la voix du vent dans les grands pins
C'est le bruit de la mer qui sans cesse domine
Faible la voix des elfes marchant sur les feuilles
Dans l'ombre des forêts ils chantaient l'ancien âge
Et n'entendaient leur pas ni loups ni écureuil
Quand du monde vieilli ils quittaient les rivages
Ils s'en allaient errants et rares les royaumes
Où ils vivaient encore, joyeux et prospères
Et l'on voyait la nuit des ombres de fantômes
Passer dans les forêts portant une lumière
La vie était pour eux comme un lent crépuscule
Et dans le cœur mortel des enfants de leur sang
Ce n'est pas étonnant si maintenant il brûle
Un désir de forêts, d'étoiles, d'océans
Entends frapper les pas au pied de ta maison
La pâle lune monte dans un ciel immense
Dans les airs un instant des bribes de chansons
Tandis que de leur pied ils marquent la cadence
Ou vois dans la clairière de forêts ombreuses
Quand les feuilles d'argent tout doucement se voilent
Ils se sont penchés sur une flamme joyeuse
Comme jadis un chant monte vers les étoiles
Pourquoi donc voudrais tu que le passé soit mort ?
Dans la nuit du Comté ils passent en silence
D'eux tu ne verrais rien que la lune, et tu dors
La route va sans fin et ce monde est immense
Et je suis de ceux là qui vont par les chemins
Errant pour le plaisir d'errer dans les collines
Mais surmontant la voix du vent dans les grands pins
C'est le bruit de la mer qui sans cesse domine