25.03.2017, 17:18
(Modification du message : 27.03.2017, 01:30 par Lucius Arobel.)
Loin des rivages s'éloigne son père
vivant d'amour d'un frère et de sa mère
Elros et lui, semi elfes par nature
Petits fils d'humain et d'elfe ils furent
S'élève pourtant chez lui dans les airs
Au Sirion, les affres de la guerre
Par pleurs et en cris, les flots prirent sa mère
C'est de pitié, qu'il survit lui et son frère
Les Valars firent mots, un choix imposé
du destin des elfes, ou mortalité
Elros est humain, conduit à mourir
Elrond sera elfe, damné à subir
La guerre fait rage et son père agit
Car du lointain ciel son Silmaril luit
Mais les flots cruels lui prirent encore
Sa terre meurtrie, celle noyée qu'il déplore
De Gil Galad il devint un héraut
Mais de son frère il fleurit le tombeau
Tenté par Sauron le seigneur des dons
Aveugle à l'anneau et ses ambitions
Mais ce fut le dernier roi des Noldor
Lui confiant l'anneau de saphir et d'or
Qui périt face au monstre du pays noir
Le laissant seul face à son désespoir
Dans son malheur lui vinrent quatre lueurs
En Imladris le pays sans peur
Il devint père d'Elladan, Elrohir
Puis vint Arwen une fille à chérir
Celebrian sa femme fut blessée
à ses soins de maître fut laissée
Mais incapable de soigner le mal
La laisse quitter Fondcombe et ses salles
Des paroles entendues au conseil
Amassant des ombres qui éveillent
Les armes et les anneaux sont en guerre
Contre Barad Dûr, tour noire naguère
Repos de compagnies au grand destin
Voyagent devant lui grand nombre de nains
L'héritier d'Isildur, sa fille aimant
Et le don des Eldars abandonnant
Fatigués et dépassés par les hommes
Les elfes, les porteurs, des mythes en somme
S'en vont prendre le large aux Havres Gris
Dernier voyage, voyez, ils sourient
vivant d'amour d'un frère et de sa mère
Elros et lui, semi elfes par nature
Petits fils d'humain et d'elfe ils furent
S'élève pourtant chez lui dans les airs
Au Sirion, les affres de la guerre
Par pleurs et en cris, les flots prirent sa mère
C'est de pitié, qu'il survit lui et son frère
Les Valars firent mots, un choix imposé
du destin des elfes, ou mortalité
Elros est humain, conduit à mourir
Elrond sera elfe, damné à subir
La guerre fait rage et son père agit
Car du lointain ciel son Silmaril luit
Mais les flots cruels lui prirent encore
Sa terre meurtrie, celle noyée qu'il déplore
De Gil Galad il devint un héraut
Mais de son frère il fleurit le tombeau
Tenté par Sauron le seigneur des dons
Aveugle à l'anneau et ses ambitions
Mais ce fut le dernier roi des Noldor
Lui confiant l'anneau de saphir et d'or
Qui périt face au monstre du pays noir
Le laissant seul face à son désespoir
Dans son malheur lui vinrent quatre lueurs
En Imladris le pays sans peur
Il devint père d'Elladan, Elrohir
Puis vint Arwen une fille à chérir
Celebrian sa femme fut blessée
à ses soins de maître fut laissée
Mais incapable de soigner le mal
La laisse quitter Fondcombe et ses salles
Des paroles entendues au conseil
Amassant des ombres qui éveillent
Les armes et les anneaux sont en guerre
Contre Barad Dûr, tour noire naguère
Repos de compagnies au grand destin
Voyagent devant lui grand nombre de nains
L'héritier d'Isildur, sa fille aimant
Et le don des Eldars abandonnant
Fatigués et dépassés par les hommes
Les elfes, les porteurs, des mythes en somme
S'en vont prendre le large aux Havres Gris
Dernier voyage, voyez, ils sourient