03.12.2015, 11:20
Au royaume de Doriath, s'étend une forêt,
Un houppier dépassant, est digne d'interêt.
En suivant un chemin sinueux, triste et morne,
On découvre un arbre qu'on appelle Hírilorn.
De son tronc tortueux, à l'écorce duveteuse,
Vers le ciel s'étirent, trois branches majestueuses.
Ses ramilles feuillées suivent au gré des saisons,
Un palette de couleur, du jaune au vermillon.
Par de lourdes racines, bien encré dans le sol,
Sa ramure se termine par des fleurs en corolle
D'un jaune ensoleillé tel à l'astre suprême.
Le printemps terminé, à la place des fleurs,
Des chatons pousseront, balayé à toute heure
Par les vents musicaux en un doux requiem.
Un houppier dépassant, est digne d'interêt.
En suivant un chemin sinueux, triste et morne,
On découvre un arbre qu'on appelle Hírilorn.
De son tronc tortueux, à l'écorce duveteuse,
Vers le ciel s'étirent, trois branches majestueuses.
Ses ramilles feuillées suivent au gré des saisons,
Un palette de couleur, du jaune au vermillon.
Par de lourdes racines, bien encré dans le sol,
Sa ramure se termine par des fleurs en corolle
D'un jaune ensoleillé tel à l'astre suprême.
Le printemps terminé, à la place des fleurs,
Des chatons pousseront, balayé à toute heure
Par les vents musicaux en un doux requiem.