Seul, fourbu, dans les vastes contrées, il marche.
Un à un, de la terre, ses pas il arrache.
C'est peut être lui, l'unique survivant
De cet ultime conflit des plus sanglant.
Fuyant le capharnaüm du Pelennor,
Il a filé droit en direction du nord,
En délaissant lâchement ses frères d'armes,
La rage au ventre et les yeux emplis de larme.
Quel destinée s'ouvre maintenant à lui ?
Il se sent tel un paria, un vil traître
Et n'a qu'une seule envie, celle de disparaître.
Aux portes du Rhovanion, le soleil luit,
Donnant une sorte d'espoir et de regain ;
C'est la triste fuite d'un orc mutin.
Un à un, de la terre, ses pas il arrache.
C'est peut être lui, l'unique survivant
De cet ultime conflit des plus sanglant.
Fuyant le capharnaüm du Pelennor,
Il a filé droit en direction du nord,
En délaissant lâchement ses frères d'armes,
La rage au ventre et les yeux emplis de larme.
Quel destinée s'ouvre maintenant à lui ?
Il se sent tel un paria, un vil traître
Et n'a qu'une seule envie, celle de disparaître.
Aux portes du Rhovanion, le soleil luit,
Donnant une sorte d'espoir et de regain ;
C'est la triste fuite d'un orc mutin.