Deux camps se font face, sur leur colline réciproque,
Pestant, rageant, par des insultes, se provoquent,
Cavaliers, archers, catapultes sur l'adret,
Sur l'ubac, une horde de gobelins et d'orques prête aux aguets.
Les armures s'entrechoquent, les archers bandent leurs arcs,
Les ouargues montés par des uruk-haïs béotarques.
Les râles cacophoniques remontent du fond des gorges,
Les glaives tendus rutilent comme sortant de la forge.
Trop de sang rougit l'herbe verte de la vallée,
Les têtes tombent avec aux lèvres comme un sourire figé.
Trop de perte des deux côtés, mais qui a gagné?
Ce chant de bataille n'est plus qu'une vaste pierre tombale
Où quelques survivants gémissent face aux chacals.
Une confrontation entre le bien et le mal.
Pestant, rageant, par des insultes, se provoquent,
Cavaliers, archers, catapultes sur l'adret,
Sur l'ubac, une horde de gobelins et d'orques prête aux aguets.
Les armures s'entrechoquent, les archers bandent leurs arcs,
Les ouargues montés par des uruk-haïs béotarques.
Les râles cacophoniques remontent du fond des gorges,
Les glaives tendus rutilent comme sortant de la forge.
Trop de sang rougit l'herbe verte de la vallée,
Les têtes tombent avec aux lèvres comme un sourire figé.
Trop de perte des deux côtés, mais qui a gagné?
Ce chant de bataille n'est plus qu'une vaste pierre tombale
Où quelques survivants gémissent face aux chacals.
Une confrontation entre le bien et le mal.