04.12.2010, 21:25
Partant de l'idée de cet article sur Les Chroniqueurs d'Arda, je vous propose de compiler ici tout ce que l'on sait sur les Lambeñgolmor (maîtres du savoirs des langues) des Ñoldor qui a trait à leur activité linguistique. Le but serait d'en tirer un article synthétique.
On peut considérer que les trois plus grands lambeñgolmor sont chronologiquement :
- Rúmil de Tirion (inventeur des sarati)
- Fëanor (inventeur des tengwar... entre autres)
- Pengolodh de Gondolin
On connait aussi d'autres Ñoldor qui se sont intéressés à la science linguistique, en particulier Curufin, mais on pourrait sans doute aussi citer Celebrimbor (pour sa gravure de la Porte de la Moria).
N'hésitez pas non plus à poster des informations sur les linguistes d'Arda qui n'étaient pas des Ñoldor. Même si ce n'est pas le sujet principal de ce fuseau, cela peut toujours servir à former un intéressant appendice, que l'on mentionne l'invention des cirth par Daeron ou les « Anciens Mots et Noms dans la Comté » que rédigea Meriadoc Brandebouc.
On peut considérer que les trois plus grands lambeñgolmor sont chronologiquement :
- Rúmil de Tirion (inventeur des sarati)
- Fëanor (inventeur des tengwar... entre autres)
- Pengolodh de Gondolin
On connait aussi d'autres Ñoldor qui se sont intéressés à la science linguistique, en particulier Curufin, mais on pourrait sans doute aussi citer Celebrimbor (pour sa gravure de la Porte de la Moria).
N'hésitez pas non plus à poster des informations sur les linguistes d'Arda qui n'étaient pas des Ñoldor. Même si ce n'est pas le sujet principal de ce fuseau, cela peut toujours servir à former un intéressant appendice, que l'on mentionne l'invention des cirth par Daeron ou les « Anciens Mots et Noms dans la Comté » que rédigea Meriadoc Brandebouc.
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland