Bonjour à tous ! J'espère que mon premier poème (et j'espère pas le dernier) vous plaira !
Au plus profond de notre coeur,
Les secrets les mieux recelés,
Se découvrent devant cette funeste ombre de peur,
De ténèbres parée.
Quand ils sillonnent dans le ciel,
Même les combattants les plus vaillants,
Restent campés là, frissonant ;
Craignant le sentiment glacé de leurs montures aux grandes ailes.
Lorsque les batailles font rages,
On les voit, désireux de sang.
Et les infortunés perdants
Sans autre jugement, sont massacrés ou mis en cage.
Quand ils étaient encore de grands rois,
Sauron le malin les dûpa.
Il leur promit richesse et gloire,
Les trésors les plus rares.
Mais il leur donna neuf anneaux puissants,
Et par leurs intermédiaires, devinrent ses esclaves.
Il les éleva parmis les grands de ce temps,
Mais ils ne pouvaient pas se libérer de leurs entraves.
Ils étaient ni vivant, ni mort ;
Sans nul espoir d'aurore.
Leurs terres étaient arides,
Leur allure, morbide.
Leurs cris, une horreur mortelle ils dévoilent ;
Sur leurs montures ailées engendrées par le mal,
Ils sont aussi rapides que le vent.
Ceux qui les aperçoivent sont plongés dans un cauchemar effrayant.
Ce sont les Nazgûl, au service de l'Anneau,
Leurs lames acérées sont faites pour poignarder.
Quand ils s'en vont au combat, la mort est semée.
Sur les toits des maisons croassent les corbeaux.
Dans l'ombre de leurs pas
Au plus profond de notre coeur,
Les secrets les mieux recelés,
Se découvrent devant cette funeste ombre de peur,
De ténèbres parée.
Quand ils sillonnent dans le ciel,
Même les combattants les plus vaillants,
Restent campés là, frissonant ;
Craignant le sentiment glacé de leurs montures aux grandes ailes.
Lorsque les batailles font rages,
On les voit, désireux de sang.
Et les infortunés perdants
Sans autre jugement, sont massacrés ou mis en cage.
Quand ils étaient encore de grands rois,
Sauron le malin les dûpa.
Il leur promit richesse et gloire,
Les trésors les plus rares.
Mais il leur donna neuf anneaux puissants,
Et par leurs intermédiaires, devinrent ses esclaves.
Il les éleva parmis les grands de ce temps,
Mais ils ne pouvaient pas se libérer de leurs entraves.
Ils étaient ni vivant, ni mort ;
Sans nul espoir d'aurore.
Leurs terres étaient arides,
Leur allure, morbide.
Leurs cris, une horreur mortelle ils dévoilent ;
Sur leurs montures ailées engendrées par le mal,
Ils sont aussi rapides que le vent.
Ceux qui les aperçoivent sont plongés dans un cauchemar effrayant.
Ce sont les Nazgûl, au service de l'Anneau,
Leurs lames acérées sont faites pour poignarder.
Quand ils s'en vont au combat, la mort est semée.
Sur les toits des maisons croassent les corbeaux.
"C'est écrit avec mon sang, tel que, bien ou mal, c'est tout ce que je peux." J.R.R. Tolkien