10.04.2007, 20:36
Ce texte est dédié à Meneldur, qui vient de décider de me faire de force illustrer en vers l'encyclopédie, et à certain Indien qui aime à se faire appeler Nenuial
Dans le quiescent brouillard d’un sourd septentrion
Que le rose alangui du crépuscule inspire,
Les paresseuses eaux d’Evendim se retirent
Dans l’étreinte troublée de montueux vallons.
La ruine régalienne et splendide d’un nom,
Imperceptiblement cachetées dans la cire
Insigne d’un pays où Nenuial se mire,
Baigne d’éternité son humide fanion.
Annúminas longtemps a enchanté ses rives,
Et ses rêves brisés, ses amours maladives,
S’estompant doucement demeurent néanmoins ;
Et le chant délicat d’un vaniteux jadis,
Réveillant l’écho mort de funestes abysses,
Rappelle au miséreux l’or d’un soleil qui point.
Divitiac, pour vous servir
Nota : l'usage de quiescent est pour le moins tordu. S'il l'est trop pour votre goût, que j'estime sûr, j'aviserai
Dans le quiescent brouillard d’un sourd septentrion
Que le rose alangui du crépuscule inspire,
Les paresseuses eaux d’Evendim se retirent
Dans l’étreinte troublée de montueux vallons.
La ruine régalienne et splendide d’un nom,
Imperceptiblement cachetées dans la cire
Insigne d’un pays où Nenuial se mire,
Baigne d’éternité son humide fanion.
Annúminas longtemps a enchanté ses rives,
Et ses rêves brisés, ses amours maladives,
S’estompant doucement demeurent néanmoins ;
Et le chant délicat d’un vaniteux jadis,
Réveillant l’écho mort de funestes abysses,
Rappelle au miséreux l’or d’un soleil qui point.
Divitiac, pour vous servir
Nota : l'usage de quiescent est pour le moins tordu. S'il l'est trop pour votre goût, que j'estime sûr, j'aviserai