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		Oui, hein, il m'énerve, ce e qui ne veut pas se faire muet... Mais j'aime l'image, cruel dilemme... 
Et effectivement, mon intention était justement de le faire sonner comme une chanson, heureuse que ça ait fonctionné    
	
	
	
		
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		Nerdanel a écrit :Oui, hein, il m'énerve, ce e qui ne veut pas se faire muet... Mais j'aime l'image, cruel dilemme... Simple petite suggestion :
 
Et si tu retirais le "La" dans ton vers, tu pourrais ainsi retrouver l'hexasyllabe, non ?   "Blanche mariée des nuits" 
	
	
	
		
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		*réexplique à Huan le principe d'un acrostiche    *
	 
	
	
	
		
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		J'ai moi aussi pensé, à enlever le "la"...pendant une demi-seconde à peu près    
Mais l'albe mariée des nuits, pourquoi pas ?    
	
	
	
		
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		Nerdanel a écrit :Et effectivement, mon intention était justement de le faire sonner comme une chanson, heureuse que ça ait fonctionné  
Pour moi, cela évoque une mélopée :chant uni, simple...et tragique.
 
Loin de moi toute idée de vouloir sortir du sujet, mais quelle est l'histoire contée par cet acrostiche de qualité ?  
Je n'ai pas tout compris...
	 
	
	
	
		
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		L'histoire de Maeglin, qui a aimé Idril (Celebrindal) et trahi Gondolin. Idril s'en est toujours méfié. La mère de Maeglin, Aredhel, est morte pour le sauver, lorsque son père a voulu le tuer. Voilà, je crois que j'ai tout explicité    
Et comme je suis inspirée en ce moment (le printemps, tout ça..   ), je vous en remets un autre :
 
Le printemps te vit naître, petite fleur des champs 
A l'été tu souris, ô soleil éclatant 
Les coeurs tu réchauffais quand même il faisait nuit. 
A l'automne ma belle, tu courais le ruisseau 
Illuminée d'écume, auréolée des flots 
Terrible fut l'hiver qui éteignit ta vie 
Hélas ! Plus de soleil ! Mon désespoir naquit.
	 
	
	
	
		
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		Merci pour les explications, et pour ce nouvel acrostiche...lumineux! 
C'est drôle, je n'arrive absolument pas à le trouver triste... 
Le « soleil » du dernier vers éblouit tout le reste…et cache la mélancolie    
	
	
	
		
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		Allez! Un petit remonté de fuseau pour les besoins de l'actualité!   Monte vite ô mon âme à l’arbre du bonheur Aux branches, aux feuilles d’or, mets-toi à l’abri
 Là brille la Soleil, ici chante mon cœur
 Loin des heurts, des malheurs, loin de la terre morne
 Où la mort prit mon corps adossé au tronc gris.
 Repose là mon âme en ce doux paradis
 Nimbé de féérie au sommet d’un mallorn.
 
	
	
	
		
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		Pas facile de rédiger un acrostiche! Celui-ci est mon premier qui m'a demandé 3 semaines de réflexion. En souhaitant qu'il plaira, le voici:
 Enfant du Peuple des Etoiles et des Mortels, il dut choisir
 La race à laquelle il souhaitait appartenir,
 Rester avec les Elfes ou avec les Humains.
 Optant de demeurer parmi les Immortels, il choisit une vie sans fin.
 Noble guerrier, il combattit avec vaillance,
 Durant la Guerre de la Dernière Alliance.
 
 Sage et Maître du savoir,
 Elrond est un guérisseur légendaire.
 Il a le don de voir dans un avenir proche.
 Gardien il est de l'Anneau Vilya, l'Anneau de l'Air.
 Noldo de haute lignée, Semi-
 Elfe à l'âme pure, fait de lui
 Un être sans reproche,
 Resplendissant d'honneur et de gloire.
 
 Dans une profonde vallée cachée,
 
 Il fonda un refuge et construisit sa demeure.
 Magnifique havre de paix où rien de mauvais ne pouvait pénétrer,
 Le ciel nocturne était plus étoilé que nulle part ailleurs.
 Arbres variés, jardins et cascades agrémentaient ce lieu de bonheur,
 Des terrasses dominaient la rivière Bruinen au cours tumultueux,
 Ruisselant de ses eaux bruyantes, elle prenait sa source aux Monts Brumeux.
 Imladris, comme il est difficile de te raconter, surtout lorsqu'on n'y est jamais allé,
 Sobre sanctuaire ayant fait rêver plus d'un, désormais tu appartiens à une époque passée.
 
 Luinelda (♀)
 Nai Valion cala illumë caluva tienyanna
 
	
	
	
		
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		Pour ce qui est des règles de poésie... je ne connais pas grand chose, mais j'aime bien    
	
	
	
		
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		J'aime bien, surtout la fin qui est comme une excuse de la petitesse de notre art humain, face aux beautés elfiques... Nous sommes bien peu de choses, et la poésie n'est-elle pas là pour le dire aussi ?
 
 
 Mort de soif, de chagrin, éperdu de fatigue
 Oublieux des nuées ennemies qui se liguent
 Regrettant sans un mot ses funestes serments
 Gisant sur une plaine souillée de son sang
 Il admire un instant dans le temps qui s'arrête
 L'étoile qui flamboie au-dessus de sa tête
 
	
	
	
		
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		Morgil ? J'aimerais bien savoir d'où vient ton nom.
	 
	
	
	
		
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		De nulle part. Enfin non, pas vraiment. Ca voudrait dire Etoile Noire en Sindarin, ce qui correspondrait bien à mon côté fan de starmania (ou un gang de terroristes se fait appeler comme ça, mais c'est hors sujet)... Juste un nom forgé pour les besoins du web, mais le nom en lui même porte une "personnalité" très puissante... J'ai lu un jour l'histoire d'un brigand du premier âge qui aurait, d'après l'auteur de cette très puissante fanfic, combattu avec Turin Turambar. Ca tombe bien, j'adore Turin.
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