20.01.2007, 14:36
Sur l'air fameux du petit cheval blanc, interprété par Brassens et écrit par Paul Fort.
Felaróf bien loin du Rohan,
Qu’il avait donc du courage,
C’était un beau méara blanc,
Tous derrière, tous derrière,
C’était un beau méara blanc,
Tous derrière et lui devant.
Les Mûmakil étaient absents
Dans ce pauvre paysage,
Il n’y avait pas d’Oliphants,
Ni derrière ni derrière,
Il n’y avait pas d’oliphants,
Ni derrière ni devant.
Mais toujours il était content
Chassant les orcs des villages,
De son brutal et noble élan
Et derrière, et derrière
Les orcs s’étouffaient dans leur sang,
Et derrière, et devant.
L’eored allait poursuivant
Sa bell’ petite queue sauvage
C’est alors qu’il était content,
Tous derrière, tous derrière,
C’est alors qu’il était content,
Tous derrière et lui devant.
Mais un jour près du Celebrant,
Un jour qu’il était si sage,
Il est mort car des gars d’Orient
Par derrière, par derrière,
Il est mort car des gars d’Orient
Par derrière l’ont eu avant ;
Avant qu’il voit les Oliphants,
Qu’il avait donc du courage,
Ces fameux animaux géants
Ni derrière, ni derrière,
Pauvre méara de Rohan,
Ni derrière ni devant.
Divitiac, pour vous servir
PS : et le premier qui me dit qu'"oliphant" c'est pour la rime... ben pas du tout, j'avais la célèbre expression d'Arda "fier comme Aratan" (variante meneldurienne : "fier comme Aradan") sous la main, alors, vous voyez, j'étais loin d'être à court d'idées... heu...
Felaróf bien loin du Rohan,
Qu’il avait donc du courage,
C’était un beau méara blanc,
Tous derrière, tous derrière,
C’était un beau méara blanc,
Tous derrière et lui devant.
Les Mûmakil étaient absents
Dans ce pauvre paysage,
Il n’y avait pas d’Oliphants,
Ni derrière ni derrière,
Il n’y avait pas d’oliphants,
Ni derrière ni devant.
Mais toujours il était content
Chassant les orcs des villages,
De son brutal et noble élan
Et derrière, et derrière
Les orcs s’étouffaient dans leur sang,
Et derrière, et devant.
L’eored allait poursuivant
Sa bell’ petite queue sauvage
C’est alors qu’il était content,
Tous derrière, tous derrière,
C’est alors qu’il était content,
Tous derrière et lui devant.
Mais un jour près du Celebrant,
Un jour qu’il était si sage,
Il est mort car des gars d’Orient
Par derrière, par derrière,
Il est mort car des gars d’Orient
Par derrière l’ont eu avant ;
Avant qu’il voit les Oliphants,
Qu’il avait donc du courage,
Ces fameux animaux géants
Ni derrière, ni derrière,
Pauvre méara de Rohan,
Ni derrière ni devant.
Divitiac, pour vous servir
PS : et le premier qui me dit qu'"oliphant" c'est pour la rime... ben pas du tout, j'avais la célèbre expression d'Arda "fier comme Aratan" (variante meneldurienne : "fier comme Aradan") sous la main, alors, vous voyez, j'étais loin d'être à court d'idées... heu...