Note de ce sujet :
  • Moyenne : 0 (0 vote(s))
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
L'Histoire de Naghiah
#1
...Dans une caverne sombre et profonde des monts de Mirkwood...

C’est ici que se trouve un petit lac assez froid et lugubre. La lumière y ets sombre et la peur s'y trouve. De plus, un drôle d'individu a pris possession de la caverne et y a élu résidence. Cette caverne possède une sortie sur la montagne assez étroite pour laisser passer un hobbit ou un petit orque, mais trop limite pour les nains en largeur.

Ce cadre terrible abrite en fait un orque. Il se nomme Naghiah. Naghiah a toujours eu une histoire étrange. Plus petit que tous, il a toujours été laissé de côté par ses frères, fouetté, battu ou insulté par les autres orques plus forts et plus sadiques que lui.

Mais, ses compétences de filous et de fouineur l'ont toujours aidé dans ses longs combats contre les duretés des contrées sauvages et de la vie à l'extérieur. Comme tous les autres orques, Naghiah déteste le jour et la lumière qui l'indispose au plus haut point.

Il hait avec la même rage la face blanche qui le fait hurler durant la nuit lorsqu'elle apparaît entre les nuages. Mais, son histoire cache un secret, car il est aujourd'hui l'un des seuls orques libres, sauvage et conscient de son héritage.... et de là d'où il vient !

Naghiah semble plus intelligent que la plupart que ces congénères. Il parle un Westron archaïque aussi gutturale que le parler des Hommes des Collines du Rudhaur, mais plus saccadé, et perçant, et sifflant, comme cherchant à insuffler la mort. Il parle aussi un orquien sauvage, des bribes du parler noir de Gundabad, et de la langue des Hommes de l'Angmar qu'il a apprise au temps où il servit auprès des Caravaniers de Carn Dûm, peu avant d'être envoyé dans les geôles de la Forge Noire pour y maintenir en respect les criminels et victimes arrêtées.

C'est là, un jour qu'il déambulait dans les longs et sinueux couloirs des quartiers noirs, qu'il découvrit la porte menant aux chambres secrètes des cachots oubliés. Ceux-ci étaient si éloignés sous terre qu'aucun orque n'y descendait jamais pour voir ce qui y résidait, mais, ce jour ci Naghiah empreint de curiosité descendit les marches de l'escalier en colimaçon et déboucha prés d'une immense cage suspendu au dessus de flammes et de coulées volcaniques.

Dedans, une ombre semblait immobile, une silhouette noire, complètement repliée sur elle même, morte !

"Un vieux cadavre!" Hurla Naghiah à l'adresse du mort, mais soudain, dans un élan terrifiant s'accrochant avec rage et folie aux barreaux, enchaîné à la gorge, l'orque, prisonnier de son mouroir lancera un regard pétrifiant et rugira un cri de violence à l'adresse du geôlier.

Mais Naghiah ne bougera pas! Plus intrigué que terrifié par la vision menaçante s'offrant à lui, il s'avancera vers le monstre arme au poing lui lançant à son tour son regard de haine!

"Que veux-tu? Sale orque!" Criera Naghiah.

"Qui ose me déranger !" Hurlera son interlocuteur, avec toujours la même férocité.

"Qui est-tu! Que fais-tu là ?" Demandera Naghiah intrigué par son pensionnaire.

"Je payes le crime d'avoir été trop curieux! Et tu le payeras aussi si tu restes ici!" Hurlera-t-il cherchant à faire peur au jeune orque.

"Parles! Où sinon, je te jettes au feu !" Reprendra Naghiah.

"Jettes moi ! Je n'ai plus rien à attendre ! Je ne risque plus rien ! Je sais que je suis déjà mort dans ce corps abominable et affreux!"

"Je vais te jeter!" Hurlera Naghiah. " Et tu vas mourir !"

"Non!" Répondra l'orque! "Je suis mort lorsque le Seigneur des Ténèbres, le maître du grand Sauron, changea mes arrières, arrières, arrières, arrière, .... grands-parents en Orques!"

"Tu es un orque! Tu as toujours été un orque! Nous avons été des orques sous le pouvoir de la Main Noire! Et de la Sombre Couronne Noire, de la Forge Noire, des Puits Noirs! Nous sommes des orques!" Criera Naghiah.
"Non!" Hurlera l'autre! "Jamais le Sombre Maître des Ténèbres, ni son ancien Maître n'ont pu créer la vie! Nous étions des elfes! Tu entends! Des elfes!" Hurlera-t-il dans un cri d'horreur et de souffrance qui déchirera les oreilles craquelées et brûlées de son geôlier!

"Je les hais! Voilà pourquoi nous les haïssons avec une telle force! Les nôtres fûmes des elfes auparavant! Et ils ont été torturés, attirés, séduits par les pouvoirs noirs du Noir Souverain des Terres du Milieu, le Maître Morgoth, à la Sombre Couronne, qui après les avoir emmenés dans ses plus profondes cavernes, vides et remplies de ténèbres et de monstres plus effrayants les uns que les autres, décida de les changer en une race qui bénéficierait d'une rage plus aiguë, d'une force plus grande, et qui serait la risée de la beauté, et semblable à la colère qu'il avait contre l'œuvre d'Eru: les elfes!"

"Voilà notre histoire! Nous sommes semblables à la haine de Morgoth, nous sommes son image, l'image de sa haine et de violence! Je l'ai appris, le jour où j'ai regretté dés lors d'être né!"

"Quoi? Mais que dis-tu? Tu blasphème contre le Tout Puissant et Souverain Noir Maître de la Terre du Milieu! Morgoth, le Grand Ordonnateur ! Notre Dieu et Maître Eternel, que nous ne pouvons approcher! Plus terrible que la guerre, et que la colère des volcans! Plus Monstrueux que la Mer et l’ abyme submergeant, plus Noir que l'abyme elle même! Si Terrible, puissant et monstrueux qu'il est impossible de l'approcher sans mourir de Frayeur! Non ! Tes propos sont ceux d'un hérétique et d'un diable malfaisant! Tu parles contre ton maître et ton Roi, contre ton propre Père! Menteur! Tu vas Mourir!"

"Non! Pas encore! Attends! Je ne parles pas contre mon propre Père, car c'est de mon frère, de mon maître et de mon Roi que j'ai appris la fourberie et la félonie!" Dira mesquinement l'orque Noir, un sourire sournois faisant ouvrir ses crocs cariés.

"Que dis-tu là Traître!" Hurlera Naghiah.

"La Vérité!" Répondra l'autre. " Voici mon histoire!"

"Il y a longtemps, au temps de ma jeunesse, je fus un soldat brillant, comploteur et meneur de guerre pour des soldats de l'Angmar! Et je fus emmené à la Sombre Forteresse du Noir Domaine dans la citadelle du Roi-Sorcier. Là s'étendaient d'horribles tours effrayantes et sauvages, avec des pointes et des salles immenses infestés de Soldats et de passages secrets dans lesquels mieux vaudrait ne pas s'engager! Je fus ainsi mené dans les dédales de la Tour du Roi, et là, dans les appartements anciens des Seigneurs Nains de l'Immense forteresse, je fus présenté à la Bouche du Roi, auquel je fis mon rapport!"

"Mais, peu après avoir eu cet entretien, je me perdis dans les couloirs de la Tour par mégarde certainement, et il advint que je me retrouvai auprès d'une Immense porte, plus grande qu'aucune autre et là derrière cet immense mur de pierre noire, aussi noire que la mort, et portant des inscriptions de feu, d'un rouge aussi écarlate que le sang même et doré comme les pièces du Gondor, je découvris l'Immense Antre du Seigneur Noir de l'Angmar: la salle du Trône du Roi Sorcier."

"Au bout, se tenait, assis sur un énorme et monumental Trône le Roi-Noir en personne revêtu de son armure de mailles et de plates, couvert d'une immense robe noire, et couronné d'un heaume d'acier terrifiant, insufflant le froid et la mort. Et sur celui-ci se tenait son Immonde couronne."

"Devant lui, agenouillé, vêtu dans une immense tunique couleur de nuit se tenait l'un de ses serviteurs. Le reflet des flammes des torches immenses illuminant par derrière le Trône se reflétaient légèrement sur le masque du Lieutenant. Un visage de Serpent fondu dans l'acier et la glace, dans la magie et la mort. Morgûldil, le Passionné de la Sorcellerie! Une âme noire, servante des Forces du Mal depuis aussi longtemps que durait le Royaume Noir et empreinte de Ténèbres et de Noire Magie."

"J'avais déjà entendu parler de ce sombre lieutenant et rien que de voir l'éclat de son masque de mort m'avait terrifié. Empreint d'une immense frayeur, je ne pouvais bouger, ni exercer le moindre mouvement, lorsque soudain, le Roi Noir se mit à parler à son serviteur:"

"Hôte ton masque esclave! Et regardes moi de tes yeux de chair!"

"Et c'est à ce moment là que je le vis, immense fort et redoutable, aussi terrible que le froid des Cols de Angirith, le Noir Morgûldil, et dans la clarté des flammes toujours vacillantes, j'aperçus son visage! Le visage le plus monstrueux et le plus répugnant, le plus horrible et le plus affreux, le plus vil, et le plus laid, un visage d'elfe!"

"Et alors, je vis son regard, perdu dans la complainte et l'expectation, attendant avec rage un signe de son maître, hurlant de peur et de souffrance de sa colère, perdu entre le désir de dominer et la peur du dominé, je le vis tiraillé en lui même par ses forces propres, se changeant de plus en plus, devenant sous l'impulsion du regard et de la Sorcellerie du Roi, un être de plus en plus cruel et avide, se mettant à hurler, regardant les pouvoirs que lui donnait le Roi Noir avec rires et fracas, comme une jouissance terrible de puissance maléfique incontrôlée. "

"Mais il le vit aussi gagné par la Peur, par le regard amenuisant du Sombre Roi-Sorcier, le transformant petit à petit en un esclave de sa propre volonté, plus terrifié par son souffle que par sa propre mort ainsi que par la propre surpuissance de ses dons! Il devint très vite maléfique, son regard changea en un regard de haine véloce envers son Maître, et soudain, il devint plus petit, et comme sa volonté se transformait en une volonté féroce de meurtre et de rapine, de guerres et de d'avidité, son regard prit soudain, une autre apparence. "

"Ses yeux s'enfoncèrent dans leurs orbites, ses narines changèrent en naseaux plus fins et squelettiques, son teint devint blafard et vert, et sa bouche se garni de crocs et de canines effroyables. Sa longue chevelure se fit alors plus éparse et plus noire, avec des teintes grises et il devint semblable à un orque, semblable à ma propre image!"

"Sa voix s'était également mise à muer, devenant plus stridente, plus métallique et plus criante, faîtes de plus de mots sauvages et vils! Sa voix et son parler devinrent aussi plus cruels plus guerriers plus acharnés et violents, piquants, perçants, hurlant de rage et de douleur dans leur folie de tout contrôler et de tout s'approprier comme un trésor secret!"

C'est alors que le Roi Sorcier se dressa devant son esclave et soudain, d'une voix puissante et fière, d'ombre et de maléfices, aussi noir que la nuit des enfers, aussi foudroyante que les éclairs, il grondera son timbre contre son serviteur et parlera sous un ordre d'acier:

"Regardes qui tu es maintenant et comprends mon pouvoir! Désire le! Aies en peur! Tu es un orque, un orque à ma merci, à ma volonté, à mes pieds! Tu n'as plus que de la haine, de l'envie, de la rage et du désir de pouvoir! Tu me veux! Tu veux ma force et ma puissance! Tu es à moi, comme tes ancêtres capturés par Notre Noir Maître Souverain du Monde! Tu n'as plus rien! Que moi ton maître! Et tu m'obéiras! Et tu me craindras! Tu auras peur! Aussi peur que la mort de la vie! que du néant de la lumière! Tu resteras dans le Néant dans lequel tu es plongé et tu y resteras enfermé!"

"Puis, se munissant de son immense fouet en lanières noires enflammées, il frappera le nouvel orque se tenant devant lui, brisant son armure sous le coup de sa masse, et il ébranlera l'esclave de sa volonté, complètement mort et en survie sous les coups de son Maître et Bourreau!"

"Puis, un cri s'échappa de moi! Et le Regard Noir du Sombre Roi Sorcier me démasqua! Et la peur et la frayeur qui me pénétrèrent à cet instant sont encore au fond de moi et m'empêchent de dormir ou de mourir! Ils me gardent dans une éternelle souffrance de laquelle je ne serais jamais délivré. Ainsi en est de quiconque est touché par ce Sombre Seigneur, ainsi que par son souffle!"

Puis, soudain, sortant de la torpeur dans laquelle le mettait le souvenir du regard et du Souffle du Monstre, il se jettera de nouveau sur les barreaux de la cage avec rage et faisant son pénétrer son regard d'horreur et de violence il dira à l'autre:"Tu a bien compris! Nous étions des elfes avant! Et maintenant que tu sais, ils vont être mis au courant que tu le sais toi aussi! Ils le savent cela Ils vont te réserver le même sort qu'à moi, ils vont te jeter ici au fond de ces oubliettes où plus jamais personne ne pourras te retrouver sauf des inconscients dans ton genre! Ah! Ah! Ah!Ah! Ah!"

Mais Naghiah terrifié, emplie d'une peur et d'une frayeur sans nom, au récit du prisonnier, se jettera dans les escaliers et soudain, ceux-ci se mettront à tomber et à s'effriter, comme s'ils disparaissaient avec la roche et allait se fondre dans la rivière de la lave se trouvant juste en dessous. Mais un curieux hasard permis au jeune Naghiah de s'en sortir vivant. Deux semaines après, de nombreuses patrouilles avaient été alertée de la fuite de l'orque et il fut nommé et fiché comme déserteur. Puis, on appris qu'il s'était rendu dans les fosses des cachots oubliés. Un Agent Noir, un Noir Général du Roi-Sorcier, vint à Gundabad et décida de le poursuivre, mais après deux mois de recherches infortunes, ils cessèrent leurs recherches.

Naghiah qui avait trouvé alors refuge dans les Monts Brumeux fut ensuite chassé par des orques en patrouilles et chemin faisant, il se dirigea vers le sud. Puis, profitant d'une longue nuit et des soirées hivernales, il se rendit loin, dans les Montagnes vers la Porte des Gobelins. C'est alors qu'il fut capturé par des orques sauvages de la Porte, qui, en lutte avec Gundabad ne firent pas de rapport de leur capture et le marchandèrent comme esclave avec d'autres tribus orques et il fut ainsi amené aux Petites Cavernes, dans les falaises au nord du Carrock, dont il fut sauvé par de curieux aventuriers.

Avant d'être ainsi transféré, Naghiah passa un moment dans les cavernes de la Porte des Gobelins, qu'il visita allégrement bien qu'il ne put se rappeler tous es passages, les angles et les allées. C'est ainsi qu'il découvrit le coffre fort du Grand Gobelin protégé par une immense araignée, gluante et visqueuse, avec d'horribles pattes poilues et semblable à un Monstre énorme. Et cachée près de son antre, un petit coffret à bijoux, fermé soigneusement. Mais, un jour, la Porte des Gobelins fut attaquée suite à un raid mené par un Nain, complètement fou, et quelques uns de ses frères ayant juré de tuer le Grand Gobelin, assassin de son père lors d'une attaque dans les Monts Brumeux, trois ans auparavant.

Ainsi, durant l'assaut du nain, Naghiah réussit à s'échapper et suivant les sombres tunnels, il arriva à la cache secrète du Grand Gobelin. Puis, usant d'un puissant champignon soporifique, il endormit la gardienne et ouvrant avec malice le coffret il déroba l'anneau ancestral d'Elendur.
Il remonta avec furtivité les longs couloirs et chercha à s'enfuir. Mais, comme l'assaut avait été repoussé, de nombreuses patrouilles furent lancées à sa recherche, et il fur repéré. Par peur d'être pris avec l'anneau et d'être finalement dénoncé à Gundabad ou purement exécuté, il avala l'objet qui disparu un temps dans ses entrailles. Le soir même, Naghiah était de nouveau captif, et le lendemain, le Grand Gobelin, craignant une nouvelle évasion le vendit à son lointain parent de l'est.

Suite à son sauvetage des falaises, Naghiah gagna avec une certaine rapidité du fait du jour et de la nuit les cavernes plus à l'est, et finit par entrer sous la voûte odieuse des arbres de Mirkwood sous lesquels il se réfugia. Et c'est ainsi qu'il gagna les Montagnes, devenant un allié et un ami des araignées, rabattant pour elles du gibier. Il a ainsi peur des orques se méfiant des Hommes et des elfes bien qu'il soit désormais inquiet du fait de l'histoire qu'il a entendu. Il arrive que des fois, dans la nuit, là où personne ne peut le voir ou l'entendre, il se pose à lui même ces questions.

"Un elfe! Un orque étais autrefois un elfe?" Puis, ces mots retrouvent rapidement l'abyme d'où ils sont apparus, et soudain reviennent les mêmes rancœurs éternelles.

"Non! Les elfes sont nos Ennemis! Morgoth est notre Maître! Il faut tuer ces satanés elfes! Les étriper! Les égorger! Les écharper! Je suis un orque! Je suis un orque! Je suis un orque! Ce sont les elfes qui nous ont obligé à vivre dans ces trous pourris, ces cavernes infâmes pleines de vers et de rats! C'est de LEUR FAUTE !!!!!!"

"Ce sont eux qui nous font mal avec leur face claire, et la face blanche, piquante! brûlante! qui nous brûlent et nous rentrent dans le corps! Satanés elfes! Il faut les tuer! Il faut que je reviennes à Gundabad. Le Noir maître me donnera de grands pouvoirs si je reviens, si je lui apprends la fourberie et les pièges des Orques de la Porte des Gobelins! Ces sales traîtres qui refusent de payer le Tribut au Roi de Gundabad! Satané, pourriture! Infectes puants de gobelins de la Porte aux Loups! Voleurs! Nous vous étriperons! Nous vous empalerons! Nous vous dévorerons!"

Mais soudain, alors qu'il se met à prendre la route du nord, la peur commence à le gagner, et il s'imagine encore le Puissant et terrible Sorcier des Ténèbres changer cet elfe amoindri en créature démoniaque, et soudain, il se sent terrifié et pétrifié de peur, il crie:

"Non! Non! Ils me tuerons si je reviens! Jamais ils ne me laisserons parler et les informer de la traîtrise des gobelins du Haut Col ! Ils ont des yeux noirs et menaçants aussi terribles que des éclairs, aussi froids que la mort et aussi sanglant que l'acier noir brûlant des foyers! Et puis, tous les orques me recherchent, et ils ont des serviteurs qui ont des ailes et des griffes et qui montent la garde sur de cruelles montures! Je..., je n' y arriverais jamais vivant!"

Puis, alors, il se met à faire demi-tour et regagne ses sombres cavernes où il renacle encore et encore, toujours et encore les mêmes réflexions et les mêmes débats sans jamais trouver une seule issue à ce mal.
Répondre
#2
La suite, la suite !
qu'advient-il par la suite de l'attachent Naghiah ?
uoi, il est très attachant je trouve.
C'est superbement raconté, très prenant, je n'ai pas pus m'en détacher avant d'avoir fini !
Je sais plus quoi dire !
Sauf que c'est génial !
Bravo Cricri !

Ciredorn, sofflé !
Wink
Répondre
#3
Très bonne idée que de donner une origine elfe aux orques ! Il fallait y penser.
Pourquoi utilises-tu le futur quand les protagonistes de ton histoire parlent ? N'y aurait-il pas mieux valu un passé simple ?
Linna
Répondre
#4
J'utilise le futur lorsqu'un personnage se projettes dans un futur proche ou quer je le projettes dans son futur proche. J'essaye de placer la caméra, ou l'action au présent toujours sur le personnage au temps fixe. J'utilise aussi beaucoup le présent de narration, et le passé simple cependant. Tu peux le vérifier. Quant à l'origine elfe des orques. C'est la leur. MoRGOTH OU Sauron n'ont jamais pu créer la vi. La seule chose qu'ils peuvnet faire c'est la modiier, la rendre plus odieuse et plus horrible, pour attirer les elfes par leurs pouvoirs et ainsi, les transformer en personnes avides cruelles et violentes qu'ils pourront plus facilement dominer. C'est l'histoire des orques et des elfes, des trolls et des ents, et de Gollum et Sméagol.
Répondre
#5
Le futur, même s'il n'est pas erroné, fait vraiment bizarre.... Et toi-même tu t'emmèle les pinceau en en mettant dans le discours rapporté (le récit)... Mais bon, c'est une histoire de relecture.
Ce qui est dommage c'est que certain passages sont passés trop rapidement, on aurait aimé plus de précision et détails...
Répondre
#6
Mea culpa. Je suis d'accords pour l'intro. C'est vrai que cela fait bizarre, dans les dialogue. Conclusion : le garder uniquement pour le discours rapporté, ou les dialogues; c'est tout choisi : le discours rapporté où il n'intervient que très peu, il me semble.
A part ça: quels sont les passages où vous aimeriez en savoir plus, avoir plus de précisions, de détails?
Répondre
#7
Désolée, je ne connaissais pas l'origine véritable des orques. Je ne me rappelle pas l'avoir lu quelque part dans le SDA ou dans Bilbo, le hobbit. Ou peut-être ai-je tout simplement oublié ceci.
Embarassed
Linna
Répondre
#8
Si, j'ai un petit exemple dans le SdA : Dans le Chapitre IV des "Deux Tours" :"Sylvebarbe", à la fin, il est quetion des orques créés en dérision des elfes, et des Trolls en dérision des Ents.
Il y a plus de précision dans le Silmarion dans le Chapitre III, sur "La Venue des Elfes et la Captivité de Melkor"
Répondre
#9
Paraît-il quil faut que je revoyes ma copie : soit, voiçi l'incipit pour ceux qui ont besoin d'un peu plus de détails... LA SUITE SUIVRA... Mais je n'ais pas que cela à faire.

L'Histoire de Naghiah

Un soir au coin d’un feu de cheminée bien entamée dont les braises commençaient à assécher la belle bûche de son jardin, Perceval Took, un excentrique dans cette famille, (s’il on eut peut dire qu’il en existe un que l’on puisse mettre à part, sans dégager soudain un mouvement de jalousie déchaînant un feu d’artifices incontrôlé de bizarreries, l’ un de ce clan qui soit plus étrange qu’un autre pour un hobbit), sirotait une tasse de thé et quelques friandises, tout en racontant une histoire ancienne à ses enfants.

« ...Dans une caverne sombre et profonde des Monts de Mirkwood... »

Comment vous dire que cette histoire me fait trembler de peur rien qu’à en évoquer la première phrase… C’est terrible à dire, mais certains on dit, et il est bien des cas où cela se vérifie, qu’il est des secrets qu’il vaudrait mieux ne jamais révéler…

Je reprends donc…

« Dans une caverne sombre et profonde des monts de Mirkwood se trouvait il y a fort longtemps, caché dans les coteaux enneigés des falaises abruptes protégeant dans des pentes à flanc de roche dure, le domaine de Nîmdûr le Pic Effroyable, Pic le plus traître de tout le Rhovanion, une crevasse sans grand intérêt. A peine, plus petite que les autres, elle laissait passer un mince fil de lumière une à deux heures au matin, et pas plus durant toute la journée.

Quelques lapereaux des neiges y venait bien en escapade, ignorant les conseils de leur mère leur ordonnant de rester au terrier suite à la disparition de quelques uns de leurs frères partis dévorer les quelques perce-neige pointant aux abords du trou.

Dehors le sombre Mîndûr était la plupart du temps, et des temps calme, sauf de temps à autres en hiver où sa colère se déchaînait envoyant bouquetins, et chèvres sauvages se fracasser contre les cascades de glaces et les pierres acérées des ravins, et parois de ses six faces.
La légende dit, et je crois qu’elle dit vrai, suite à la mauvaise expérience que j’ai eu moi-même sur ces pics enneigés, qu’au temps ancien où les elfes et les hommes venus de l’ouest s’allièrent contre la menace du Seigneur des Ténèbres, il y eut une grande guerre dans cette forêt que l’on nommait alors Vert-Bois le Grand. Ces montagnes était en ce temps là, un ce temps, la demeure d’un Prince des elfes nommé Ringlind, le Seigneur des Cavernes, dont l’origine venait des Sindar de Beleriand qui sont de la parentèle du Roi Thranduil, que tu es bien trop jeune pour connaître mon bon Meriadoc, dit-il en tapotant la tête du jeune garçon.
Alors que celui-ci était engagé dans une guerre terrible l’opposant sous un feu dément des orques en rage assiégeant sa forteresse, il envoya mander le Roi Ostoher de lui venir en aide. Voyant dans le ciel les nuages s’amonceler tout autour des pics enneigés du Glacier Principal, formant presque une Couronne à l’Esprit Terrible et Monstrueux, Seigneur de la chaîne ténébreuse, il dit à Heoln , qui était, depuis peu de temps son chef de camp s’en allait, les quittant pour un temps, pour gravir les immenses dangers, sentiers, et parois de glace, protégeant l’accès de la caverne la plus au nord du grand pic implorer la clémence et le secours de l’Esprit des Neiges.

Il gravit alors des falaises, passa sur des stalagmites surplombant des crevasses, et affronta des loups des neiges. Puis, enfin, il parvint après trois jours de voyage au sommet de la Montagne, et là durant une journée entière, il implora la clémence de Nîmdur.

Cependant, Nîmdùr est un esprit assez personnel, froid, dont le cœur est aussi glacial que sa nature de glacier, aussi orgueilleux que la dureté de sa roche, égoïste, et n’agissant que selon un intérêt qui lui est propre : le silence de la montagne et la protection de son plein pouvoir et de sa liberté. Ainsi, Nîmdùr refusa l’aide que Ringlind était venu lui demandée. Cependant, et pour œuvrer, ne serait-ce que d’une partie, dans le sens de l’elfe, il fit la promesse solennelle de ne pas prendre position pour l’une ou l’autre des armée. »

« Et ensuite… » Demanda Marcalion.

« Ensuite, et bien la suite… Je ne m’en rappelles plus trop, mais ce qui est sûr, c’est qu’au beau milieu de la bataille, alors que la victoire des elfes était éclatante, la montagne s’emporta et le glacier s’effondra sous une terrible bourrasque de neige entraînant d’énormes avalanches tuant les deux camps à la fois. La Montagne n’avait pas pris position en effet, mais Nîmdùr n’apprécies aucun être vivant à part lui, c’est sûr ! »

C’est donc ici, dans ses pics enneiges, autrefois demeures des elfes, à l’heure de mon histoire transformées, dénaturées, défigurées, et envahies par des armées des orques du Nécromancien que se trouve un petit lac assez froid et lugubre. La lumière y est sombre, car le jour ne se reflète dans la vase de l’eau qu’une infime partie du jour, et les algues qui s’y trouvent, bleutées à l’odeur étrange semblable à des champignons pourris la retienne pour en imbiber l’air de toutes les galeries environnantes. Les orques de ces montagnes, bien qu’habitués à la pourriture de leurs couloirs n’empruntent jamais les petits escaliers qui montent à ce lieu.

De plus, une présence étrange s’y trouve, la rendant inquiétante, et froide… Il est des heures de la nuit, où soudainement le lac semble se mettre à bouillir, comme ressortant un trop plein de ses déjections internes. Une ombre mouvante l’habite. Une présence maléfique tournoyant sans arrêt tout autour de ce lieu et ne le quittant jamais, comme si le mal lui même y avait élu résidence.

Un secret des plus anciens et des plus enfouis au fond de la mémoire de milliers et de milliers d’esclaves soumis à la même volonté de la Puissance Maléfique, étriqué, essoré de leur conscience jusqu’à en enlever l’essence, perdu, enfermé dans la plus puissante des males, dans le plus profond des cachots, dans la plus secrète des oubliettes, de sorte qu’aucune chance ne serait-ce infime n’existe d’en découvrir le contenu ne soit possible.

Des démons, oiseaux noirs et grands rapaces aux yeux de braises, ayant établis de nombreux nids noirs dans les falaises sud, voletaient de leurs grandes ombres, planant tels des espions dans le ciel, ne cessaient de scruter tous ces lieux à la recherche du détenteur du mystère.
Répondre
#10
La suite... la suite... et bien voilà :

Le drôle d'individu qui a pris possession de la caverne et y a élu résidence semble s’y être reclus maintenant depuis de longues semaines, tant la peur qu’il a du jour et des Ombres Noires qui le pourchasse le hantent jour et nuit. Jamais dans son sommeil ne se perd le souvenir de ce qu’il a entendu, et ses rêves ne peuvent éteindrent l’image de flammes tourbillonnantes cherchant à l’avaler. Cette même flamme ne cesse de le dévorer, jet amais la malice du Souverain des Ténèbres ne le fait quitter de son effroi, faisant tournoyer ces heures d’angoisses les unes dans les autres ensevelissant sa conscience et son âme sous un amas de regrets et de remords de sa petite vie perdue : cloîtrée dans cette caverne sombre et humide, prisonnière de la frayeur des grandes ombres ailés qui balayent les flans enneigés de la montagne de l’esprit froid et de la vie dont il a perdu la jouissance jusqu’à ne plus en reconnaître le goût.

Le seul goût que savoure encore son corps décharné, la seule partie de son être qui survit par un curieux effet de résistance, tel une ironie du sort de la malice odieuse du piteux maquilleur de sa race, est le sang bien frais sous toute ses formes, car son corps horribles garde à jamais la trace des malversations ancestrales que fit subir l’immonde Ange des Ténèbres à ceux qui furent en premier ses captifs. Le sang de quelques lapereaux irriguent encore légèrement ses bajoues de manière irrégulière laissant une odeur fermentée qui empeste dans tous les alentours.

Il aimerait bien d’ailleurs descendre les marches et aller dévorer chez les orques, mais la peur d’être repéré, trouvé, traqué et confronté à un de ses soldats de l’ombre dont la seule évocation du nom seul peut entraîner la mort, l’en empêche toutes les heures o d’un pas allant, il aimerait de nouveau descendre et rejoindre ses congénères.

Car oui ! l’indicible occupant de ce morbide endroit est un orque.

Mais ce n’est pas le pire ! car le secret qu’il a découvert le transperce de douleur encore plus
De la crevasse qui pointe au dessus de son antre, une fine lumière passe à une mince heure du jour, et lorsque la nuit paraît, il arrive qu’au delà des sombres nuages qui recouvrent de manière quasi permanente les hauts sommets des Monts de Mirkwood la face blanche de la lune se dévoile. Et lorsque celle-ci apparaît, la créature se met alors à hurler de douleur avec une telle force que tous autour croient qu’un Monstre énorme, vestige des atroces engeances de Morgoth du premier âge vient de se réveiller, et tous les orques qui habitent ces tunnels empestés se mettent à trembler craignant que le monstre ne se jette sur eux pour les dévorer.

Mais cette douleur qui fait hurler cet orque n’est pas une douleur physique du corps qui brûle sous la lumière éclatante de l’astre d’Ithil ; Non ! C’est une douleur bien pire….morale, psychologique, comme si … dans la nuit glaciale qui habite son âme e son cœur depuis la nuit des temps, une lumière jaillissait… du néant de son esprit… une conscience.

L’orque qui a pris pension en ce dépotoir se nomme Naghiah. Naghiah a toujours eu une histoire étrange. Plus petit que tous, il a toujours été laissé de côté par ses frères, fouetté, battu ou insulté par les autres orques plus forts et plus sadiques que lui. Né d’un guerrier, lieutenant d’une escouade, il fut rejeté par sa mère dés sa naissance, qui le confondu avec une bouse dans sa portée. Ecrasé par ses frères et sœurs, il fut battu à mort par son père dés son arrivée qui avait subi une lourde défaite dans les collines du nord Arthedain à la frontière de l’Angmar.

Par la suite, il fut toujours battu et devint vite le souffre-douleur préféré de son père qui s’en servait de jouet et de porte besace, quant il ne servait pas de selle de Warg ou de bilboquet. Naghiah était d’ailleurs fortement maltraité par ses frères qui s’amusaient tous à le railler, à le moquer et à le rouer de coups dés qu’ils en avaient l’occasion. Et ils en avaient souvent l’occasion car sil s’agissait d’un jeu qui faisait toujours s’esclaffer leur sombre géniteur.

Mais, un beau soir, car c’est ainsi que le perçut Naghiah ; l’éternel Survivant de la Guerre ne revint pas ! Il avait été tué au combat, lors d’un siège sur l’Immonde Bàr Gaurgesh, plus connu dans la langue des hommes sous le nom d’Aradhras la citadelle frontalière nord de l’Arthedain. Les orques avaient ce soir là essayer de prendre la forteresse d’assaut, mais une forte charge des rôdeurs, les monstrueux serpents des collines de l’Ouest, discrets comme les renards, agiles comme la fauvette et fourbes comme l’aspic avaient fondus sur eux comme un torrent au printemps. Aucun de ceux qui avaient pris les armes et rejoint la colonne de Guerre du Général de l’Angmar, Morgûldil, l’effroyable Sorcier et Prince des Ténèbres, n’avait survécu. Il fut rapporté cependant que lorsqu’il vit la fuite de ses hommes, Morgûldil déchaîna un Immense brasier de colère dans toute la vallée ou tous les orques désertant la bataille ne laissèrent que leurs cendres. Il est même dit que cet affreux général s’avança au cœur même de la nuée, et qu’il rencontra le Père de Naghiah qui désirait fuir, et qu’il n’eut qu’une seule parole à prononcer, tel un sifflement strident aussi perçant que le désespoir et le vide du néant et qu’il mourut sur l’instant.

L’Ombre du Sorcier s’avança alors de la forteresse, et il y fit exploser sa colère et une peste immonde vint à s’emparer de la moitié des habitants du village infectant de même les puis, mais les soldats du Gondor soutenus par Ordrath, le Vaillant se rend pas et il se soutinrent les uns et les autres, et comme par miracle, le Dauphin d’Arthedain, se trouvait en cette forteresse, ils purent bénéficier de son secours et une grande partie des soldats ne périt pas et l’on sonna la retraite dans le camp de l’Angmar.

Naghiah appris cette histoire de ces frères alors-même, que le reste de l’Host de Guerre du Roi-Sorcier rentrait en berne, c’est alors que nombreux des frères de Naghiah furent immédiatement enrôlés alors même qu’ils n’étaient encore qu’adolescents, et Naghiah fut amené de même. Et c’est ainsi que Naghiah rejoignit l’Armée de l’Angmar.
Répondre
#11
Il y a certainement des choses à revoir sur cette partie avnat d'attaquer ce qui concerne la carrière militaire de Naghiah et son passage chez les caravaniers... alors n'hésitez pas.... commentez! commentez !
Merci
Répondre
#12
Je crois que j'ais une remarque a faire .
Si j'ais biens compris tu utilise "Morgûldil" pour qualifier le roi sorcier.
Ca veut dire quoi ?.
lieutenant de Morgûl?
Ou bien c'est un nom que tu as trouver pour qualifier le roi sorcier?

thorongil
a qui le phoque a laisser quelque trace dans le fond du patalon.
Répondre
#13
Non t'as mal lu Thorongil Morguldil c'est pas le nom designant le Roi-Sorcier c'est celui designant l'elfe qui se fait transformer en orque et -dil ca doit avoir une signification en sinda , c'est present dans de nombreux noms je crois.

Merry
Répondre
#14
autant pour moi je m'en tenais au premier texte c'est moi qui ait mal lu, excuse moi Thorongil.
masi dans le premier texte on dirati que c'est l'elfe transforme en orque qui s'appelle Mormulgil. encore desole pour m'etre avance

Merry
Répondre
#15
Pas grave merry tu est tout excuser.
Donc cricri sa c'est un truc a éclarcir, on a un peu de mal a la premiére lecture a faire la part entre chaque personnage.
Il faut une relecture attentive pour ne pas s'embrouiller les pinçeaux.
Je vois pas comment on pourrais arrangeais ça.

thorongil.
Répondre
#16
Mor = noir, gûl= sorcellerie (cf Gûldùr, Morgûl...) , le préfixe -dil est un suffixe quenya présent dans eären-dil (le passioné de la mer) elen-dil (le passionné des étoiles) qui signifie passionné. Donc Morgûldil signifie, et il ya des ajustement à faire, le passionné de sorcellerie noire qui explique très bien la profondeur de la corruption intérieure de ce personnage!
Répondre
#17
Merci pour la traduction cricri mais ,c'est toi qui la inventer (sa serais bien trouver de ta part) ou bien tu la choper je ne sais ou.
Attention Tolkien n'a jamais nommé les nazgûl a part Khamûl.Les autres noms sont des faux créer pour je ne sais plus trop quel jeu de rôle sur l'univers de Tolkien.
Répondre
#18
ce personnage, même s'il ressemble à un Nazgûl n'en est aucunement un puisque c'est un elfe. Il ne s'git pas du Roi-Sorcier, et je ne me risquerais pas à effectuer un lien là dessus. Les Nazgûls pour moi sont plus terrifiants, car ils ignorent le Remords ou bien encore le Bien! Ils ont donné leur vie au mal et aux Ténèbres et en sont les héraults. Même si ce personnage inventé Morgûldil ressemble à un Nazgûl; il n'e a strictement pas les pouvoirs de morts dans son souffle et possèdent au contraire des Nazgûls une vue plus affinée.
Répondre
#19
Il n'est nullement l'un des neufs lieutenants deSauron le Grand, l'ennemi des Peuples libres que nul ne peut affronter, et les neufs possèdent des pouvoirs de frayeurs à faire plier les trois quarts des soldats de l'armée de la citadelle, même si ce sont des dûnedains. Mais les héraults de Sauron craignent le sang d'Isîldûr et la lignée de celui qui coupa le doigt de l'anneau à leur Maître déchu.
Répondre
#20
Ha ok donc Merry avait raison.
Ton texte est un peu trop compliquer on point de vue des personnage tu devrais reprendre certains passage ,histoire de les rendres plus claire.


thorongil a la hune
Répondre
#21
Le Personnage de Morgûldil n'as pas l'étoffe d'un Nazgûl
Répondre
#22
Mais comme on ne dit rien sur cette période assez vague qui se situe après la deuxième guerre du Nord (1409 pour ceux qui oublieraient), ni n'ait fait mention des soldats angmarins et des peuplades qui vivaient en ces lieux je brode. Cependant, il est dit dans au Conseil d'Elrond que les Rôdeurs du Nord gardent la terre de l'Ouest (Eriador) dans la paix contre les restes des méfaits de l'Angmar et qu'à une journée de marche de Bree se tiennent des monstres et des dangers tels (en partie les Spectres des Galgals) que Poiredebeurée en mourrait d'effroi sur place.
Répondre
#23
Il n' y a pas que les Nazgûls qui ont terrifié les terres du Nord, mais d'autres fléaus et bien avant le réveil des dragons (après TA 2000)
Répondre
#24
Quels passages ? Je tiens juste à signaler qu'il faut faire comme si vous n'aviez pas lu la première partie svp ! c'est une retouche !
Répondre
#25
Ah d'accord non j'ai cru que c'etait un des Nazgul dans la retouche, parce que tu dis : "Guerre du Général de l’Angmar, Morgûldil, l’effroyable Sorcier et Prince des Ténèbres" et ca me faisait penser au Roi-Sorcier en personne surtout l'effroyable Sorcier et Prince des Tenebres, et je trouvais ca un peu bizarre, mais bon ok si il sagit d'un Elfe, pas de probleme (quoique c'est un Elfe Noir ou bien pas specialement?? parc que l'Elfe il doit avoir serieusement disjoncte pour adorer a ce point le mal!!!

Merry
Répondre


Sujets apparemment similaires…
Sujet Auteur Réponses Affichages Dernier message
  Histoire trolle Chiara Cadrich 8 6 182 17.02.2021, 19:21
Dernier message: Chiara Cadrich
  Histoire sur les Istari . Saroumane le Blanc 4 7 240 18.08.2012, 13:41
Dernier message: Taliesin
  Une histoire (très) amateur Jiraya 11 16 648 29.08.2007, 15:19
Dernier message: Jiraya
  Histoire de Khazad-Dûm - Par Julien Carbon Belgarion 7 12 876 18.08.2005, 22:33
Dernier message: Gil-galad
  Mon histoire d'Ours Cricri 0 5 171 21.09.2004, 17:42
Dernier message: Cricri
  proposition : histoire collective Khrûl 6 11 446 15.03.2004, 21:32
Dernier message: [-Nenya-]

Atteindre :


Utilisateur(s) parcourant ce sujet : 1 visiteur(s)