21.10.2010, 21:49
Les Emyn Beraid ont été faites par les Elfes et ont les appelle souvent les « Tours Blanches », donc on peut les écarter, je crois. Il est sous-entendu que les pierres d'Amon Sûl n'étaient pas noires à l'origine, car elles furent « noircies » par les flammes projetées lors du combat de Gandalf contre les Nazgûl. Quant à Minas Ithil, elle était faite de marbre et même, si l'on exploite au maximum les propos de Tolkien, de marbre pâle ou blanc.
Aucun renseignement sur la Tour des Étoiles à Osgiliath et on ignore même où était conservée la Pierre d'Annuminas / Fornost.
Tolkien n'explique nulle part quelle est l'origine de cette pierre noire qui constitue la tour d'Orthanc et le premier rempart de Minas Tirith. Ça ressemble effectivement à de l'obsidienne (pierre renommée pour sa dureté, d'ailleurs). Évidemment, il est inenvisageable qu'elle ait été taillée dans la masse. Personnellement, j'aurais tendance à supposer que les Númenóriens avaient de grandes connaissances en alchimie et qu'ils étaient capable de changer une roche en une autre par des procédés dont ils finirent par perdre le secret.
Aucun renseignement sur la Tour des Étoiles à Osgiliath et on ignore même où était conservée la Pierre d'Annuminas / Fornost.
Tolkien n'explique nulle part quelle est l'origine de cette pierre noire qui constitue la tour d'Orthanc et le premier rempart de Minas Tirith. Ça ressemble effectivement à de l'obsidienne (pierre renommée pour sa dureté, d'ailleurs). Évidemment, il est inenvisageable qu'elle ait été taillée dans la masse. Personnellement, j'aurais tendance à supposer que les Númenóriens avaient de grandes connaissances en alchimie et qu'ils étaient capable de changer une roche en une autre par des procédés dont ils finirent par perdre le secret.
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland