25.04.2010, 23:52
J'avais coché la case "Morgoth, Sauron et leurs serviteurs" mais voyez-vous en précisant "A voté les malheureux martyrs du manichéisme..."
Dans ma pensée, je souhaitais que l'on respecte les idées divulguées par le Professeur dans ses oeuvres, et donc à tout prix ne pas faire dans le manichéisme. Que l'on ne parle pas de Sauron qui fait jou-jou avec les anneaux et consume le monde entier dans un immense brasier, uniquement. Que l'on parle pas du plaisir de l'orque à tuer, et de la pestilence de Morgoth qui marri jusqu'à la moindre pétale d'Arda, uniquement.
Qu'est-ce que le Mal chez Tolkien? Je l'ai compris ainsi : comme une Chute, comme une Chute qui appelle un nouveau Printemps. L'anti-manichéisme. Il n'y a pas des "méchants" mais des êtres bons qui ont chutés, des déchus, et dont les méfaits ou leur propre être avili est appelé un jour à de nouveau briller lavé de toute souillure.
Alors plutôt que le sujet "Morgoth, Sauron et leurs serviteurs" qui risque de nous mener à des poèmes et des illustrations suant le manichéisme, j'aurais préféré celui de Les déchus qui nous amène bien plus vers la pensée de Tolkien.
Pourquoi je vous dis tout cela? Parce qu'en faisant ainsi glisser le sujet, on pourra toujours arriver à placer parmi Les déchus un poème sur Sigurd. Il doit bien y avoir la présence du Mal et de cette notion de Chute dans cet ouvrage, non? Un poème simplement, parmi quatre autres poèmes traitant des déchus d'Arda, un seul. Comme un avant-goût, une introduction à Sigurd, et peut-être à un calendrier suivant centré sur Sigurd et les autres "Héros du Nord". Comme une réconciliation pour ce calendrier 2011 des tenants de Morgoth et de Sigurd
Dans ma pensée, je souhaitais que l'on respecte les idées divulguées par le Professeur dans ses oeuvres, et donc à tout prix ne pas faire dans le manichéisme. Que l'on ne parle pas de Sauron qui fait jou-jou avec les anneaux et consume le monde entier dans un immense brasier, uniquement. Que l'on parle pas du plaisir de l'orque à tuer, et de la pestilence de Morgoth qui marri jusqu'à la moindre pétale d'Arda, uniquement.
Qu'est-ce que le Mal chez Tolkien? Je l'ai compris ainsi : comme une Chute, comme une Chute qui appelle un nouveau Printemps. L'anti-manichéisme. Il n'y a pas des "méchants" mais des êtres bons qui ont chutés, des déchus, et dont les méfaits ou leur propre être avili est appelé un jour à de nouveau briller lavé de toute souillure.
Alors plutôt que le sujet "Morgoth, Sauron et leurs serviteurs" qui risque de nous mener à des poèmes et des illustrations suant le manichéisme, j'aurais préféré celui de Les déchus qui nous amène bien plus vers la pensée de Tolkien.
Pourquoi je vous dis tout cela? Parce qu'en faisant ainsi glisser le sujet, on pourra toujours arriver à placer parmi Les déchus un poème sur Sigurd. Il doit bien y avoir la présence du Mal et de cette notion de Chute dans cet ouvrage, non? Un poème simplement, parmi quatre autres poèmes traitant des déchus d'Arda, un seul. Comme un avant-goût, une introduction à Sigurd, et peut-être à un calendrier suivant centré sur Sigurd et les autres "Héros du Nord". Comme une réconciliation pour ce calendrier 2011 des tenants de Morgoth et de Sigurd
