15.09.2009, 18:10
Hello !
Je ne suis jamais intervenu au sujet de La folle Jeunesse de Galadriel.
J'ai découvert les planches depuis peu.
Je voulais juste dire que je suis fan et que la talentueuse dame Elsie nous démontre avec brio chaque mardi qu'il est possible de faire une adaptation réussie et fidèle de Tolkien sur un média/support différent de la littérature.
Et en plus d'être réussi, c'est agréablement divertissant.
La planche de ce mardi, que je découvre à l'instant s'ouvre tout à coup sur les heures les plus sombres du Silmarillion.
C'est ce qui m'a invité à écrire ces modestes lignes.
Tout comme, en d'autres temps et d'autres lieux, la série Kamelott - j'assume la comparaison, même si elle est difficile compte-tenu de la différence des supports - avait osé introduire de la gravité dans son humour et son non-sens génial, la Folle jeunesse laisse le mystère et le drame de l'exil des Noldor déborder par touches infimes, mais bien présentes, la joyeuse légerté de l'ensemble. Et du coup relief et profondeur se mêlent à l'humour à la fois fin et déjanté pour cimenter un tout parfaitement cohérent et jubilatoire.
C'est une vraie réussite.
Bravo et merci, Elsie.
Quel talent ! vivement mardi !
I.
Je ne suis jamais intervenu au sujet de La folle Jeunesse de Galadriel.
J'ai découvert les planches depuis peu.
Je voulais juste dire que je suis fan et que la talentueuse dame Elsie nous démontre avec brio chaque mardi qu'il est possible de faire une adaptation réussie et fidèle de Tolkien sur un média/support différent de la littérature.
Et en plus d'être réussi, c'est agréablement divertissant.
La planche de ce mardi, que je découvre à l'instant s'ouvre tout à coup sur les heures les plus sombres du Silmarillion.
C'est ce qui m'a invité à écrire ces modestes lignes.
Tout comme, en d'autres temps et d'autres lieux, la série Kamelott - j'assume la comparaison, même si elle est difficile compte-tenu de la différence des supports - avait osé introduire de la gravité dans son humour et son non-sens génial, la Folle jeunesse laisse le mystère et le drame de l'exil des Noldor déborder par touches infimes, mais bien présentes, la joyeuse légerté de l'ensemble. Et du coup relief et profondeur se mêlent à l'humour à la fois fin et déjanté pour cimenter un tout parfaitement cohérent et jubilatoire.
C'est une vraie réussite.
Bravo et merci, Elsie.
Quel talent ! vivement mardi !
I.