04.05.2009, 23:44
Bon... soufflons un peu sur la poussière de ce machin et proposons une nouvelle version. Un peu plus rimée. Je vais tâcher de généraliser mes reprises de vieux machins dans les temps à venir.
Nous lançons cet adieu à l’âtre et la demeure !
Quand le vent soufflerait, quand tomberait la pluie
Nous partirons avant que ne naisse aujourd’hui
Par-delà les forêts et ces troubles hauteurs.
Ce sera Rivendell, elfique résidence,
Et ses vaux dispersés sous les brumes des monts :
La lande et le désert, nous les traverserons
Dans la hâte. Au-delà ? – Rien qu’on sache à l’avance.
Devant nous, l’ennemi, l’épouvante derrière.
Chaque nuit vers les cieux, qu’ils montent droits ! nos rêves
Jusqu’à ce qu’à la fin notre errance s’achève
Et que trouve son terme un périple souffert.
Nous partirons ! puisqu’il le faut, nous partirons !
Avant le point du jour, vois ! nous chevaucherons !
(Ouiiin, je ne peux pas rajouter mes apostrophes manquantes, après 260 000 minutes je n'ai plus le droit d'éditer... et là j'en suis à quelque chose comme 2 500 000 ^_^)
Divitiac
Nous lançons cet adieu à l’âtre et la demeure !
Quand le vent soufflerait, quand tomberait la pluie
Nous partirons avant que ne naisse aujourd’hui
Par-delà les forêts et ces troubles hauteurs.
Ce sera Rivendell, elfique résidence,
Et ses vaux dispersés sous les brumes des monts :
La lande et le désert, nous les traverserons
Dans la hâte. Au-delà ? – Rien qu’on sache à l’avance.
Devant nous, l’ennemi, l’épouvante derrière.
Chaque nuit vers les cieux, qu’ils montent droits ! nos rêves
Jusqu’à ce qu’à la fin notre errance s’achève
Et que trouve son terme un périple souffert.
Nous partirons ! puisqu’il le faut, nous partirons !
Avant le point du jour, vois ! nous chevaucherons !
(Ouiiin, je ne peux pas rajouter mes apostrophes manquantes, après 260 000 minutes je n'ai plus le droit d'éditer... et là j'en suis à quelque chose comme 2 500 000 ^_^)
Divitiac