24.02.2009, 19:27
Bon, Moorcock ne casse quand même pas trois pattes à un canard. Évidemment, si Conan est la référence associée, c'est plus compréhensible.
Le problème de la fantasy, c'est qu'il y a Tolkien. Après, la plupart des auteurs me paraissent fades, ou s'épuisent assez vite (comme Goodkind).
Si je devais donner trois références d'auteurs en fantasy, ce serait sans doute Tad Williams (entre autres l'Arcane des Épées), Robin Hobb (au moins la première moitié du cycle de l'Assassin royal), et George R.R. Martin (dont j'aimerais pouvoir lire la fin du Trône de fer).
Mais personnellement, je trouve qu'il y a des écrivains autrement plus intéressants en fantastique. Pour ne citer qu'eux, je recommande évidemment Maupassant (Le Horla), Mérimée (La Vénus d'Ille) et Stoker (Dracula – l'original, cela va sans dire).
EDIT : Corrigé pour Stoker.
Le problème de la fantasy, c'est qu'il y a Tolkien. Après, la plupart des auteurs me paraissent fades, ou s'épuisent assez vite (comme Goodkind).
Si je devais donner trois références d'auteurs en fantasy, ce serait sans doute Tad Williams (entre autres l'Arcane des Épées), Robin Hobb (au moins la première moitié du cycle de l'Assassin royal), et George R.R. Martin (dont j'aimerais pouvoir lire la fin du Trône de fer).
Mais personnellement, je trouve qu'il y a des écrivains autrement plus intéressants en fantastique. Pour ne citer qu'eux, je recommande évidemment Maupassant (Le Horla), Mérimée (La Vénus d'Ille) et Stoker (Dracula – l'original, cela va sans dire).
EDIT : Corrigé pour Stoker.
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland