Oups! Je nous croyais encore au Premier Age... Mais la question se pose toujours pour moi: est-ce que les Elfes partaient déjà à ce moment-là?
Pour l'arbre: pourquoi pas? Mais vu que Mithlond est une cité de pierre, pas entourée de forêt. Ce motif me semblerait plus logique sur une porte de Lothlorien, par exemple.
Voilà la suite... Je ne suis pas trop dans le bain ces temps-ci, j'espère qu'il n'y aura pas trop de corrections à apporter malgré tout.
La ville était bordée de champs de blé et de lin, en une opulente mosaïque d’or et d’azur, comme la version terrestre des couleurs couvrant l’océan. Le vent faisait doucement onduler les fleurs fragiles qui coloreraient un jour la robe d’une riche dame ; et tandis qu’ils les longeaient, il sembla aux voyageurs que les longues hampes jaunes s’inclinaient sur leur passage.
Ils arrivèrent enfin devant la porte Est de la Cité. En cette heure matinale, elle se dressait majestueusement devant les voyageurs, semblant défier tout intrus désirant la franchir sans permission. Un cygne en plein essor était gravé en son centre, symbole majestueux de tout le peuple elfique : à la fois beau, sensible, courageux et terriblement fier.
Iràl sortit de son manteau une petite clochette d’argent qu’il agita quelques instants ; le son cristallin s’éleva doucement dans l’air frais du matin, jusqu’à atteindre le chemin de ronde. Tout en haut, une silhouette se pencha vers les voyageurs, qui rabattirent leurs capuchons pour se faire reconnaître ; après un signe de reconnaissance, la forme se retourna et disparut. La porte s’ouvrit lentement, sans un grincement, et ils pénétrèrent dans la ville encore endormie qu’ils aimaient tant.
Pour l'arbre: pourquoi pas? Mais vu que Mithlond est une cité de pierre, pas entourée de forêt. Ce motif me semblerait plus logique sur une porte de Lothlorien, par exemple.
Voilà la suite... Je ne suis pas trop dans le bain ces temps-ci, j'espère qu'il n'y aura pas trop de corrections à apporter malgré tout.
La ville était bordée de champs de blé et de lin, en une opulente mosaïque d’or et d’azur, comme la version terrestre des couleurs couvrant l’océan. Le vent faisait doucement onduler les fleurs fragiles qui coloreraient un jour la robe d’une riche dame ; et tandis qu’ils les longeaient, il sembla aux voyageurs que les longues hampes jaunes s’inclinaient sur leur passage.
Ils arrivèrent enfin devant la porte Est de la Cité. En cette heure matinale, elle se dressait majestueusement devant les voyageurs, semblant défier tout intrus désirant la franchir sans permission. Un cygne en plein essor était gravé en son centre, symbole majestueux de tout le peuple elfique : à la fois beau, sensible, courageux et terriblement fier.
Iràl sortit de son manteau une petite clochette d’argent qu’il agita quelques instants ; le son cristallin s’éleva doucement dans l’air frais du matin, jusqu’à atteindre le chemin de ronde. Tout en haut, une silhouette se pencha vers les voyageurs, qui rabattirent leurs capuchons pour se faire reconnaître ; après un signe de reconnaissance, la forme se retourna et disparut. La porte s’ouvrit lentement, sans un grincement, et ils pénétrèrent dans la ville encore endormie qu’ils aimaient tant.