Waow... et tu disais que tu étais très occupé? Mais qu'est-ce tu fais, à l'école, tu n'as pas de boulot?
Un grand merci pour ces réponses, toujours aussi instructives. Les fautes d'orthographe que tu as relevées encore une fois, je les avais corrigées dans le document Word, et pas sur ce site. Je vais m'y mettre!
J'ai relu le prologue et ai trouvé à peu près les mêmes passages un peu lourds. Laisser passer quelques mois et relire tranquillement, c'est le meilleur moyen de retrouver ce qui ne va pas!
Le terme "marqueter" me semble approprié; l'armure a été recouverte de lamelles d'argent pour décorer.
Chapitre 1: idem. Je vais essayer de démarrer le cavalier nocturne demain.
Chapitre 2: "en affectant un ton de reproche" veut dire qu'Erestor fait semblant d'être en colère. Il est donc en même temps malicieux...
*te crie dessus* Nooon, pas le temple en moins!!
Tu as de bons arguments, mais est-ce vraiment nécessaire de le supprimer? Il a particulièrement plu à certains lecteurs (et ça, c'est l'argument qui balaie tous les tiens ). Ca permet d'instaurer dès le début l'idée de la divinité, qui parcourt toute l'histoire.
Après, en y réfléchissant, je verrai...
Je ne te demande pas de me faire un scénario!! Ce serait bien trop compliqué de se greffer sur une histoire déjà à moitié écrite... Mais tous les conseils sont bons, les tiens surtout!
En fait, je ne suis pas d'un bord ou d'un autre; je souhaite raconter à la fois les grands évènement marquants et les petites choses quotidiennes, qu'on remarque à peine, mais dont la lecture est agréable. En plus, cela permet de faire une pause parmi tous ces moments difficiles.
Je reviens à ton message précédent:
J'ai beaucoup réfléchi à ça, et voici ce à quoi je suis arrivée: la principale différence entre les Elfes et les Hommes, outre la mortalité ou non, est la grande sensibilité des premiers, qui leur donne une certaine vision du monde. Ils sont pour moi un peu comme nos poètes. Ce qui ne les éloigne pas trop de nous, car ils ont des sentiments, connaissent la faim, le froid, la guerre, l'amitié...
Voilà voilà. J'ai aussi réalisé qu'il y avait une grande dichotomie entre le bien et le mal. Les méchants sont très méchants, et les gentils, irréprochables! Je pense diluer un peu cette idée, je vous soumettrai tout ça!
Et au sujet du siège, qui ressemble un peu trop au Gouffre de Helm: comment terminer une bataille de nuit, dans une vallée, quand les gentils sont en infériorité numérique? Hormis par une arrivée inespérée des renforts...
Et je vais rallonger un peu ce passage, grâce à la fameuse dilution!
Bon, y'a du boulot... Ne te presse pas trop pour les conseils du chapitre 3!
Un grand merci pour ces réponses, toujours aussi instructives. Les fautes d'orthographe que tu as relevées encore une fois, je les avais corrigées dans le document Word, et pas sur ce site. Je vais m'y mettre!
J'ai relu le prologue et ai trouvé à peu près les mêmes passages un peu lourds. Laisser passer quelques mois et relire tranquillement, c'est le meilleur moyen de retrouver ce qui ne va pas!
Le terme "marqueter" me semble approprié; l'armure a été recouverte de lamelles d'argent pour décorer.
Chapitre 1: idem. Je vais essayer de démarrer le cavalier nocturne demain.
Chapitre 2: "en affectant un ton de reproche" veut dire qu'Erestor fait semblant d'être en colère. Il est donc en même temps malicieux...
*te crie dessus* Nooon, pas le temple en moins!!
Tu as de bons arguments, mais est-ce vraiment nécessaire de le supprimer? Il a particulièrement plu à certains lecteurs (et ça, c'est l'argument qui balaie tous les tiens ). Ca permet d'instaurer dès le début l'idée de la divinité, qui parcourt toute l'histoire.
Après, en y réfléchissant, je verrai...
Citation :Sinon, une dernière chose : je vais nécessairement te donner des conseils de scénario pour les chapitres suivants, mais il faut que tu saches que je ne suis pas un littéraire. Quand je construis un scénario, je m’inspire du procédé filmique. C’est-à-dire que je n’insère que les épisodes principaux, voire symboliques, et que je coupe les scènes qui cassent inutilement le rythme de l’histoire. A l’inverse, d’autres pensent que le roman est justement là pour tout raconter. Peut-être, mais je trouve ça ennuyeux si l’auteur manque de style ou de créativité dans ces passages qui figureraient au chapitre des « scènes coupées » dans un film.
Maintenant, j’aimerais savoir quel est ton parti, que je puisse m’y adapter.
Je ne te demande pas de me faire un scénario!! Ce serait bien trop compliqué de se greffer sur une histoire déjà à moitié écrite... Mais tous les conseils sont bons, les tiens surtout!
En fait, je ne suis pas d'un bord ou d'un autre; je souhaite raconter à la fois les grands évènement marquants et les petites choses quotidiennes, qu'on remarque à peine, mais dont la lecture est agréable. En plus, cela permet de faire une pause parmi tous ces moments difficiles.
Je reviens à ton message précédent:
Citation :Enfin, en ce qui concerne l'attachement du lecteur au personnage, là je ne sais pas trop comment faire. Si tu veux, le problème entre l'elfe et le lecteur, c'est qu'ils ne sont pas de la même race. Humaniser les elfes, c'est flétrir leur côté merveilleux. Elfiser le lecteur, je ne sais pas comment on peut le faire. Mais je ne vois pas d'autre moyen. Sinon le lecteur humain risque de se retrouver spectateur d'un héros aux moeurs et aux attitudes totalement différents d'un humain, comme un ET, et en tant que spectateur ne s'identifiera pas à lui...Eh bien, on va créer des stages intensifs d'elfisation, et le problème sera réglé...
Qu'en penses-tu? Crois-tu que tu pourrais t'identifier à un elfe?
J'ai beaucoup réfléchi à ça, et voici ce à quoi je suis arrivée: la principale différence entre les Elfes et les Hommes, outre la mortalité ou non, est la grande sensibilité des premiers, qui leur donne une certaine vision du monde. Ils sont pour moi un peu comme nos poètes. Ce qui ne les éloigne pas trop de nous, car ils ont des sentiments, connaissent la faim, le froid, la guerre, l'amitié...
Voilà voilà. J'ai aussi réalisé qu'il y avait une grande dichotomie entre le bien et le mal. Les méchants sont très méchants, et les gentils, irréprochables! Je pense diluer un peu cette idée, je vous soumettrai tout ça!
Et au sujet du siège, qui ressemble un peu trop au Gouffre de Helm: comment terminer une bataille de nuit, dans une vallée, quand les gentils sont en infériorité numérique? Hormis par une arrivée inespérée des renforts...
Et je vais rallonger un peu ce passage, grâce à la fameuse dilution!
Bon, y'a du boulot... Ne te presse pas trop pour les conseils du chapitre 3!