27.11.2008, 11:08
En ce lieu mythique où tout semble n'être que ruine et
désolation, parfois s'élèvent d'étranges murmures, paroles d'antan,
immortel hommage au Peuple des Orfèvres :
Dans les grands arbres, seul demeure un long murmure,
Rien qu'un peu de vent et l'ombre des souvenirs.
L'aurore ne fait plus frémir la pâle verdure
Des antiques jardins hantés de longs soupirs.
Quelques pierres tombées, vestiges des vieux murs,
Témoignent d'un passé qui n'a plus d'avenir.
Le long cri d'un oiseau qui sillonne l'azur
N'éveille aucun frisson, ne se mêle à aucun rire.
Et pourtant, quelque part, sous l'ombre des ramures
Chante la magie des lames et des armures,
Des joyaux d'antan qui n'ont pas cessé de luire.
Dans le silence et l'oubli, dans la nuit obscure
Un guerrier d'antan à la longue chevelure
Veille, et son chant s'élève comme un triste soupir.
désolation, parfois s'élèvent d'étranges murmures, paroles d'antan,
immortel hommage au Peuple des Orfèvres :
Dans les grands arbres, seul demeure un long murmure,
Rien qu'un peu de vent et l'ombre des souvenirs.
L'aurore ne fait plus frémir la pâle verdure
Des antiques jardins hantés de longs soupirs.
Quelques pierres tombées, vestiges des vieux murs,
Témoignent d'un passé qui n'a plus d'avenir.
Le long cri d'un oiseau qui sillonne l'azur
N'éveille aucun frisson, ne se mêle à aucun rire.
Et pourtant, quelque part, sous l'ombre des ramures
Chante la magie des lames et des armures,
Des joyaux d'antan qui n'ont pas cessé de luire.
Dans le silence et l'oubli, dans la nuit obscure
Un guerrier d'antan à la longue chevelure
Veille, et son chant s'élève comme un triste soupir.
Dans la silencieuse mémoire du temps,
Un songe lumineux qui défie l’oubli.
Un songe lumineux qui défie l’oubli.