Lire les oeuvres de ton frère est pour le moins déconcertant Tinakë. Il m'a montré à quel point je faisais désormais partie de ces lecteurs médiocres, incapables de tenir une histoire s'il n'y a pas une masse folle d'actions à en vomir, des types qui canardent dans tous les coins, etc... 
Néanmoins, et pour ma défense, je dirais qu'aucun lecteur, qu'il soit jeune ou vieux, qu'il lise un roman ou un essai, n'a jamais aimé les gros paragraphes massifs et lourds. Il faut un minimum d'aération et de présentation.
En ce sens que j'ai déjà lu, et lit encore ce genre d'écrits dénués d'effets à suspens et d'actions. Néanmoins, leurs auteurs font en sorte de compenser la monotonie du fond par une diversité de forme. A savoir que dans la présentation, le tout paraît dès lors plus léger, aérien et le plus important : comestible.
Dans son récit, ton frère a utilisé -consciemment ou non- cette présentation... mais une fois seulement : quand l'elfe se met à parler en vers. 3 strophes de quatres vers qui aèrent le sujet.
Là se trouve une solution au problème : insérer une forme d'art dans les réflexions du personnage, forme qui nécessairement ne ressemble pas à un pavé. Ce peut-être un poème, un dessin, ou si tu fais fusionner les deux un de ces textes en forme de dessein (j'ai perdu le nom, anagrammes je crois, mais pour te faire comprendre, ton frère a par exemple la possibilité de donner à un passage de son texte la forme d'un arbre).
Il existe une autre méthode : entrecouper le récit d'intitulés. J'ai lu des auteurs qui utilisaient cette méthode. De façon primaire, ça peut être la date du jour où le personnage écrit sa lettre, ses réflexions. De manière plus poussée, c'est l'insertion de mini-titres ou mots clés mis en gras, (voire encadrés de symboles) en tête des paragraphes qui développent une idée commune.
enfin, la dernière et la plus courante : le dialogue. Ecrire ses réflexions et mémoires n'exclut pas la présence de dialogues!
Bref tout ce genre de petits choses qui cassent la monotonie du récit.

Néanmoins, et pour ma défense, je dirais qu'aucun lecteur, qu'il soit jeune ou vieux, qu'il lise un roman ou un essai, n'a jamais aimé les gros paragraphes massifs et lourds. Il faut un minimum d'aération et de présentation.
En ce sens que j'ai déjà lu, et lit encore ce genre d'écrits dénués d'effets à suspens et d'actions. Néanmoins, leurs auteurs font en sorte de compenser la monotonie du fond par une diversité de forme. A savoir que dans la présentation, le tout paraît dès lors plus léger, aérien et le plus important : comestible.
Dans son récit, ton frère a utilisé -consciemment ou non- cette présentation... mais une fois seulement : quand l'elfe se met à parler en vers. 3 strophes de quatres vers qui aèrent le sujet.
Là se trouve une solution au problème : insérer une forme d'art dans les réflexions du personnage, forme qui nécessairement ne ressemble pas à un pavé. Ce peut-être un poème, un dessin, ou si tu fais fusionner les deux un de ces textes en forme de dessein (j'ai perdu le nom, anagrammes je crois, mais pour te faire comprendre, ton frère a par exemple la possibilité de donner à un passage de son texte la forme d'un arbre).
Il existe une autre méthode : entrecouper le récit d'intitulés. J'ai lu des auteurs qui utilisaient cette méthode. De façon primaire, ça peut être la date du jour où le personnage écrit sa lettre, ses réflexions. De manière plus poussée, c'est l'insertion de mini-titres ou mots clés mis en gras, (voire encadrés de symboles) en tête des paragraphes qui développent une idée commune.
enfin, la dernière et la plus courante : le dialogue. Ecrire ses réflexions et mémoires n'exclut pas la présence de dialogues!
Bref tout ce genre de petits choses qui cassent la monotonie du récit.
