17.09.2007, 23:29
(Modification du message : 17.09.2007, 23:33 par jean person.)
Pour ma part, je pense que: "traduir, c'est trahir."
Cependant, je suis en accord avec la citation que vous apportez: "l'acte de traduction est l'acte poétique par excellence."
Mais c'est l'acte du traducteur et non de l'auteur original; s'il-y-a traduction, il y a nécessairement interprétation, alors que, si le traducteur prétend à une objectivité, le résultat ne peut qu'être "asceptisé"; puisqu'il accomplira un oeuvre de laquel il éffacera, le plus qu'il lui sera possible, ça marque personnelle; ce ne sera plus ni l'oeuvre originel, pas plus que la sienne.
L'objectivité est une chimère, à laquelle l'on ne doit aspirer que lors de l'investigation. La création ne peut et ne doit qu'être subjective, qu'elle soit individuelle ou collective.
Bien sûr c'est, ceci dit, est un point de vue plutot philosopique.
Plus pragmatiquement j'ajouterais: qu'il est des nuaces notables, suivant la structure de pensé et les propos de l'auteur, selon qu'ils soient plus ou moins superficiels et/ou universels.
Cependant, je suis en accord avec la citation que vous apportez: "l'acte de traduction est l'acte poétique par excellence."
Mais c'est l'acte du traducteur et non de l'auteur original; s'il-y-a traduction, il y a nécessairement interprétation, alors que, si le traducteur prétend à une objectivité, le résultat ne peut qu'être "asceptisé"; puisqu'il accomplira un oeuvre de laquel il éffacera, le plus qu'il lui sera possible, ça marque personnelle; ce ne sera plus ni l'oeuvre originel, pas plus que la sienne.
L'objectivité est une chimère, à laquelle l'on ne doit aspirer que lors de l'investigation. La création ne peut et ne doit qu'être subjective, qu'elle soit individuelle ou collective.
Bien sûr c'est, ceci dit, est un point de vue plutot philosopique.
Plus pragmatiquement j'ajouterais: qu'il est des nuaces notables, suivant la structure de pensé et les propos de l'auteur, selon qu'ils soient plus ou moins superficiels et/ou universels.