Citation :Lézeau, Lambertine. Lézeau...Dame Lambert', vous me lirez 3 fois "Les Promenades dans la Comté" en guise de punition
Et puis surtout les Champs Verts, contre Golfimbul et ses gobelins.

Zelphalya a écrit :Je rejoints Incanus, car je ne ne suis pas convaincu par l'utilisation du terme "obligation" quand on parle généralement des Hobbits, et cela même pour un sujet qui leur est si lointain comme la guerre ou les menaces. En évitant de partir dans des disgressions qui vont nous faire dévier du sujet initial, je ne vois pas les "Shiriff" passer dans les "trous" pour tirer du lit les "planqués" lorsque retentit l'Alarme.Incanus a écrit :Et, quand la guerre atteint finalement la Comté à la fin du livre, les Hobbits apparaissent plus organisés (sous le commandement de Merry, il est vrai), responsables et surtout concernés, non ?Concernés mais pas par choix, par obligation.
Sans Merry et Pippin, auraient-il réussi à s'en sortir ?

Citation :AWAKE! FEAR! FIRE! FOES! AWAKE!Je trouve au contraire qu'ils se sentent tres concernés pour réagir aussi rapidement, et nous retrouvons le même cas de figure dans Le "Nettoyage de la Comté"... Il aurait été interessant d'avoir un récit plus détaillé des évènements qui ont amené "l'occupation" de la Comté pour verifier ce comportement volontariste des Hobbits.
(...)
At last they got the idea that enemies were in Buckland, some strange invasion from the Old Forest. And then they lost no more time.
FEAR! FIRE! FOES!
(...)
Far-away answering horns were heard. The alarm was spreading. The black figures fled from the house. One of them let fall a hobbit-cloak on the step, as he ran. In the lane the noise of hoofs broke out, and gathering to a gallop, went hammering away into the darkness. All about Crickhollow there was the sound of horns blowing, and voices crying and feet running.
... Mais je vais m'arrêter la, je dévie de trop

Edit Elwë: j'ai pris tellement de temps pour poster mon message que je n'avais pas vu celui de Laegalad que je salue affectueusement

Citation :Un truc me chiffone cependant... considérer le peuple Hobbit comme des enfants, ça me fait un peu penser à la façon dont les "Blancs" voyaient les peuples dits primitifs, en traitant les peuples africains de "grands enfants"... Avec toutes les pincettes et précautions à prendre sur ce terrain très miné, mais enfin, est-ce parce qu'un peuple n'a pas les mêmes préoccupations que nous qu'on doit le considérer comme infantile ?Ton intervention m'a donner le mot que je cherchais depuis ce matin : le paternalisme! Cette vision si colonialiste, voir missionnaire (messianique, c'est un peu too much ^^), nous la retrouvons à un degré moindre mais pourtant si présente quand on regarde de près les les relations entre "Grandes-Gens" et Hobbits (à relire : Prosper & Nob, par exemple).
Désolé pour mon intervention un peu "fouillis"
... Bosser dans les chiffres vous fait oublier les constructions claires et argumentées
