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Tolkien, Rowling, Pullman, Lewis et Co.
#32
Je pense que le "mon dieu" de Lambertine était plus un "eh bien" qu'un "fichtre" ou qu'un "par tous les diables de l'enfer"... et ce que tu dis n'est jamais absurde, Dame Zel' et je sais que Lambertine est tout à fait d'accord avec ce point de vue Wink

Sinon, juste en passant, c'est bien sûr Pippin qui jette la pierre dans le puits. C'est aussi lui qui s'empare du Palantir.
Il est le plus jeune des Hobbits, et donc le plus proche d'un comportement infantile (il n'est pas encore adulte selon les règles sociales de la Comté).
Il n'est donc pas anodin que cette relation avec Bergil soit aussi aisément développée. Ceci-dit Lambertine a raison de remettre cette relation dans un contexte particulier : la disponibilité des autres partenaires de Pippin n'est pas la même que celle de l'enfant.

Quant à l'identification d'un jeune public vers les Hobbits, c'est vrai dans un sens. Mais cette idée a ses limites. Combien de nos plus jeunes tolkiendili s'identifieraient plus aisément à des Elfes, à des magiciens... ?
Dans un même ordre d'idée, dans quelle mesure l'essentiel de nos contemporains francophones identifient la Fantasy à de la littérature pour enfants ?... n'est-ce pas là ce qui a guidé la thèse principale de cet article, et qui oriente finalement le fond de ce débat ?

Bon, je vais manger...

I.
ISENGAR a écrit :Je pense que le "mon dieu" de Lambertine était plus un "eh bien" qu'un "fichtre" ou qu'un "par tous les diables de l'enfer"... et ce que tu dis n'est jamais absurde, Dame Zel' et je sais que Lambertine est tout à fait d'accord avec ce point de vue Wink

Tiens ! Qu'est ce que je disais Mr. Green
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