Note de ce sujet :
  • Moyenne : 0 (0 vote(s))
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
Tolkien, Rowling, Pullman, Lewis et Co.
#8
Les autres tomes de Narnia mettent également en scène de jeunes enfants (au départ les mêmes qu'au début, puis seuls les plus jeunes restent, et d'autres font leur apparition).

---

En deux mots, ce que je reproche au journaliste (et au journalisme, d'une façon générale), c'est de chercher plus la cohérence que l'exactitude. Plus la fluidité que la richesse de l'information. D'accord, c'est sûrement plus vendeur. Mais c'est sans doute cela qui fait naître de nombreuses critiques vis-à-vis de la partialité des journalistes (critiques auxquelles je ne m'associerai pas).

Le fait est que le SdA est profondément différent des autres histoires. Les autres reposent toutes sur un principe de monde parallèle plus ou moins extra-temporel. Et la jeunesse (et dans une certaine mesure l'innocence) des héros est l'un des moteurs de l'histoire. Rien de tout cela dans le SdA.

Le SdA s'apparenterait peut-être plus à certains contes de Poe ou histoires de Jules Verne, de ce point de vue (peut-être m'avancè-je un peu dans cette comparaison).

En fait, je trouve tout à fait logique que Pullman critique Tolkien : il est dans une démarche très différente de ce dernier. Et il s'intéresse assez peu à la logique philosophique qui sous-tend ses récits, alors que c'était capital pour Tolkien.
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
La Chanson de Roland
Répondre


Messages dans ce sujet

Atteindre :


Utilisateur(s) parcourant ce sujet : 3 visiteur(s)