19.05.2007, 14:55
Je parlais de la position des marques de cas et des marques de nombre par rapport aux autres suffixes du nom. Donc, dans notre cas, par rapport au suffixe -nya.
Dans "Hild-i-nya-r" la marque du pluriel est clairement après le possessif, c'est ce que je voulais dire.
Les autres exemples que tu cites montrent à suffisance que la marque de cas, elle aussi, se place après le suffixe marquant le possessif. D'ailleurs, j'aurais dû penser à l'exemple de "omentielvo" (ou "omentielmo", si la dédicace fut faite sur la première édition), qui prouve que Tolkien était très clair là-dessus à cette époque.
Ta dernière hypothèse est tout à fait possible, bien que je trouve cela inesthétique.
Reste la question numéro deux. D'autres idées à ce sujet ?
Dans "Hild-i-nya-r" la marque du pluriel est clairement après le possessif, c'est ce que je voulais dire.
Les autres exemples que tu cites montrent à suffisance que la marque de cas, elle aussi, se place après le suffixe marquant le possessif. D'ailleurs, j'aurais dû penser à l'exemple de "omentielvo" (ou "omentielmo", si la dédicace fut faite sur la première édition), qui prouve que Tolkien était très clair là-dessus à cette époque.
Lomelinde a écrit :Mais pourquoi ne pas imaginer simplement qu'il ait conservé le nominatif melde pour écrire "pour la reine des Hobbits, ma très(plus) ancienne amie".
Ta dernière hypothèse est tout à fait possible, bien que je trouve cela inesthétique.
Reste la question numéro deux. D'autres idées à ce sujet ?
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland