12.04.2007, 21:13
C'est assez révélateur de ma façon de travailler les vers en fait ça : je choisis mentalement quelques mots pour leur sonorité, leur consistance qui me plait sur le moment, et je m'emploie à les "mettre en conditions" au sein d'un poème. Je me souviens d'avoir été frappé par le terme "oppresser" dans la matinée (en dehors de toute relation avec le sens du terme, hein ^^) et sans m'en rendre compte je l'ai employé deux fois dans le même texte... c'est fâcheux. En général, quand un mot est "à la mode" dans mon esprit (type funeste, par exemple) on le retrouve avec une haute fréquence dans les textes de la période... et puis après il disparait. mais bon, c'est censément dans des poèmes différents...
Pour citharède, il faut remercier Hérédia, ses trophées, et un voisin qui trouvait plus amusant de lire ça que de suivre le cours de français. J'ai bien plus bossé la première rime en -ède pour amener le terme qui m'a enchanté...
treille a aussi été le terme qui a conditionné les rimes en -eille ; je crois que je ne l'avais encore jamais mis à l'honneur, et relire le mois dernier du Du Bellay m'en avait redonné le goût.
Roide est la rime classique de froide et se retrouve du coup de loin en loin dans mes poèmes, pour la rime ou simplement la sonorité qui répond assez bien à du vocabulaire courrant.
Divitiac, flatté de ces compliments
Nota : Eh, à me lire on va croire que je suis un littéraire sérieux qui bosse ce qu'il dit et tout ! Non mais faut pas croire hein, je fais tout au hasard et sans méthode hein !
Pour citharède, il faut remercier Hérédia, ses trophées, et un voisin qui trouvait plus amusant de lire ça que de suivre le cours de français. J'ai bien plus bossé la première rime en -ède pour amener le terme qui m'a enchanté...
treille a aussi été le terme qui a conditionné les rimes en -eille ; je crois que je ne l'avais encore jamais mis à l'honneur, et relire le mois dernier du Du Bellay m'en avait redonné le goût.
Roide est la rime classique de froide et se retrouve du coup de loin en loin dans mes poèmes, pour la rime ou simplement la sonorité qui répond assez bien à du vocabulaire courrant.
Divitiac, flatté de ces compliments

Nota : Eh, à me lire on va croire que je suis un littéraire sérieux qui bosse ce qu'il dit et tout ! Non mais faut pas croire hein, je fais tout au hasard et sans méthode hein !
