14.10.2005, 07:55
Lorsque Tolkien s'est lancé dans la rédaction de la suite du Hobbit en 1938, il a commencé par garder le ton de narration de ce premier roman. Avec plein de phrases du style "et nous verrons alors que...", "il ne le savait pas encore mais..." ou "vous devez surement vous demander...".
Très vite, il se rendit compte avec l'avancée de son récit, que l'histoire avait une densité dramatique bien différente de celle du Hobbit.
Alors, tout en continuant d'écrire le reste de ce nouveau roman, Tolkien commença à faire un peu le ménage dans ces expressions un peu "enfantines".
Toutefois, voulant conserver un peu de magie et d'innocence dans cette première partie sur la Comté (juste avant l'apparition du cavalier noir sur la route), Tolkien a tout de même laissé quelques morceaux de narration plus légers. Et le renard qui traîne près des hobbits se soir là est un bon exemple.
Ce goupil-qui-pense est donc plus une technique de narration mêlant humour et légereté, plutôt qu'un véritable personnage animalier à prendre en compte dans la vaste mythologie d'Arda.
I.
Très vite, il se rendit compte avec l'avancée de son récit, que l'histoire avait une densité dramatique bien différente de celle du Hobbit.
Alors, tout en continuant d'écrire le reste de ce nouveau roman, Tolkien commença à faire un peu le ménage dans ces expressions un peu "enfantines".
Toutefois, voulant conserver un peu de magie et d'innocence dans cette première partie sur la Comté (juste avant l'apparition du cavalier noir sur la route), Tolkien a tout de même laissé quelques morceaux de narration plus légers. Et le renard qui traîne près des hobbits se soir là est un bon exemple.
Ce goupil-qui-pense est donc plus une technique de narration mêlant humour et légereté, plutôt qu'un véritable personnage animalier à prendre en compte dans la vaste mythologie d'Arda.
I.