28.09.2002, 18:24
bon ben j'ai bossé sur un autre poème, mais cette fois pas besoin de commentaires! (si ce n'est que j'ai galéré à faire des alexandrins)
Mon coeur saigne à l'idée, ô Arwen Undómiel,
que tu aies pu choisir le destin des mortels.
L'étoile de son peuple s'éteindra demain,
L'étoile du soir, que je ne reverrais point.
Lourd à porter est le fardeau que tu choisis,
Ton temps passera et, tu trouveras cruel,
Lorsque ton aimé aura quitté la vie,
D'abandonner l'éclat d'Ëarendil la belle.
Tu fus mon troisième fils, je t'ai nommé Estel,
Et voici qu'aujourd'hui tu me prends Undómiel,
Je comprends à présent, le cadeau des humains :
Car les peines s'en vont, lorsque la vie prend fin.
Farewell, farewell,
Arwen Undómiel,
Quand ton aimé s'en ira
Ce monde te perdra.
Mon coeur saigne à l'idée, ô Arwen Undómiel,
que tu aies pu choisir le destin des mortels.
L'étoile de son peuple s'éteindra demain,
L'étoile du soir, que je ne reverrais point.
Lourd à porter est le fardeau que tu choisis,
Ton temps passera et, tu trouveras cruel,
Lorsque ton aimé aura quitté la vie,
D'abandonner l'éclat d'Ëarendil la belle.
Tu fus mon troisième fils, je t'ai nommé Estel,
Et voici qu'aujourd'hui tu me prends Undómiel,
Je comprends à présent, le cadeau des humains :
Car les peines s'en vont, lorsque la vie prend fin.
Farewell, farewell,
Arwen Undómiel,
Quand ton aimé s'en ira
Ce monde te perdra.