08.06.2005, 15:07
Je préviens que je n'ai pas fait dans le rythme.
Silmarilli
Le sulfureux brasier naquit de lombre de sa forge sembrase et uvre de sa ferme main les habiles félicités.
Fëanor
Alors que linexorable déclin destine secrètement labîme, semporte et modèle de son féroce dédain les subtiles inimitiés.
Melkor
Les pas foulent les éclatants pavés par-delà la sainte et blanche Valimar,
Ou léchés par la brise défont les empreintes par-delà les sables parsemés dEldamar.
Embrasés dune aurore prédestinée avant laube levée,
Daucun ne put répudier à linextricable désir de sadonner à posséder.
Effleurer dun regard envieux, palper lorgueilleuse flamboyance de leurs reflets,
Daucun ne put renier linextinguible plaisir de se prêter à espérer.
Les pas foulent les éclatants pavés par-delà la sainte et blanche Valimar,
Sème noirceur et malheur,
Ou léché par le souffle empoisonné défont la vie par-delà les sables parsemés dEldamar,
Tisse convoitise et traîtrise.
Enflammés dun espoir consacré sur un crépuscule impensé,
Daucun ne put renier à lintransigeant souhait de les revoir briller.
Illuminer dun monde obscurci, éclairer la pénombre de leur beauté,
Daucun ne put se résigner à lintraitable cruauté de les savoir dérobés.
Les pas foulent les sombres pavés de la sainte et scabreuse Valimar
Et fondent la détresse,
Ou léchés par la brise défont les sanglantes empreintes par-delà les sables parsemés dEldamar
Et boient la tristesse.
Les prodigieuses gemmes naquis de lombre de sa forge scintillent et répandent de leur frugal destin les supplicieuses loyautés.
Fëanor
Alors que linévitable fin scelle la chute délicieuse, seffondrent et tombent les prophéties résignées.
Melkor
Silmarillli, cur de la Terre, Silmarilli, enfant de la Mer, luis au firmament au-delà des Portes de la Nuit.
Silmarilli
Le sulfureux brasier naquit de lombre de sa forge sembrase et uvre de sa ferme main les habiles félicités.
Fëanor
Alors que linexorable déclin destine secrètement labîme, semporte et modèle de son féroce dédain les subtiles inimitiés.
Melkor
Les pas foulent les éclatants pavés par-delà la sainte et blanche Valimar,
Ou léchés par la brise défont les empreintes par-delà les sables parsemés dEldamar.
Embrasés dune aurore prédestinée avant laube levée,
Daucun ne put répudier à linextricable désir de sadonner à posséder.
Effleurer dun regard envieux, palper lorgueilleuse flamboyance de leurs reflets,
Daucun ne put renier linextinguible plaisir de se prêter à espérer.
Les pas foulent les éclatants pavés par-delà la sainte et blanche Valimar,
Sème noirceur et malheur,
Ou léché par le souffle empoisonné défont la vie par-delà les sables parsemés dEldamar,
Tisse convoitise et traîtrise.
Enflammés dun espoir consacré sur un crépuscule impensé,
Daucun ne put renier à lintransigeant souhait de les revoir briller.
Illuminer dun monde obscurci, éclairer la pénombre de leur beauté,
Daucun ne put se résigner à lintraitable cruauté de les savoir dérobés.
Les pas foulent les sombres pavés de la sainte et scabreuse Valimar
Et fondent la détresse,
Ou léchés par la brise défont les sanglantes empreintes par-delà les sables parsemés dEldamar
Et boient la tristesse.
Les prodigieuses gemmes naquis de lombre de sa forge scintillent et répandent de leur frugal destin les supplicieuses loyautés.
Fëanor
Alors que linévitable fin scelle la chute délicieuse, seffondrent et tombent les prophéties résignées.
Melkor
Silmarillli, cur de la Terre, Silmarilli, enfant de la Mer, luis au firmament au-delà des Portes de la Nuit.