18.11.2004, 00:27
A signaler que cette version bretonnante du Hobbit est publiée aux éditions Arda, sous la houlette donc d'Edouard Kloczko (mais ce n'est pas lui le traducteur !). Au passage, on peut signaler que cette version bretonne inclut même le texte sur les runes en préambule au roman, que l'éditeur français, lui, n'a pas daigné traduire...
En quelque sorte. Disons que Tolkien s'est inspiré de la morphologie, de la structure et de la grammaire des langues celtiques, mais le sindarin est basé sur ses propres racines elfiques (donc pas de correspondance lexicale).
Mais c'est vrai que se familiariser avec le gallois ou le breton permet d'avoir une meilleure compréhension du sindarin (et de ces ancêtres "externes", noldorin et gnomique), mais surtout de découvrir des langues et une culture "minoritaires" et menacées (surtout pour le breton, le gallois est la plus vivante des langues celtiques).
Je suis hélas presque totalement néophyte en breton, bien que j'ai commencé une méthode et acquis une grammaire, mais je compte bien m'y remettre sérieusement un de ces quatre...
Bernard a écrit :N'oublions pas que le breton est a priori la deuxième langue la plus proche du sindarin .
En quelque sorte. Disons que Tolkien s'est inspiré de la morphologie, de la structure et de la grammaire des langues celtiques, mais le sindarin est basé sur ses propres racines elfiques (donc pas de correspondance lexicale).
Mais c'est vrai que se familiariser avec le gallois ou le breton permet d'avoir une meilleure compréhension du sindarin (et de ces ancêtres "externes", noldorin et gnomique), mais surtout de découvrir des langues et une culture "minoritaires" et menacées (surtout pour le breton, le gallois est la plus vivante des langues celtiques).
Je suis hélas presque totalement néophyte en breton, bien que j'ai commencé une méthode et acquis une grammaire, mais je compte bien m'y remettre sérieusement un de ces quatre...