06.09.2004, 17:52
[Et bien... disons que j'ai une façon bien particulière d'amener mes personnages qui fait que je ne les présente pas du tout même s'ils sont très importants (ce n'est pas qu'ici que ça m'arrive ). C'est un défaut, qu'il me faudrait corriger j'en suis conscient, mais bon, à choisir entre continuer mon histoire ou bien la corriger... je préfère vous infliger la suite )Voilà voilà, tu ne te trompes pas Merry, c'est moi qui suis à blâmer. Sinon, pour Thorongil, et bien je ne pense pas qu'il sera vraiment fait mention de l'Arnor et du Gondor dans un avenir proche... enfin j'aviserai, on verra bien. Ceci dit, allons-y !]
Bergil le Dominateur se dirigea sans hésiter dans le tunnel quil sétait voué et avant longtemps atteignit une salle voûtée à la porte de laquelle il marqua un arrêt de quelques secondes, la main au fourreau et le cur affermi.
Tous ses sens en alerte, Bergil le Jeune fit un pas, la tête renversée en arrière pour scruter les hauteurs de la caverne. Il entendait distinctement, au loin, comme des frottements et des battements dailes, sans rien pouvoir discerner tant lobscurité était épaisse. Cest alors quil remarqua, dressés tout autour de la salle comme de grandes colonnes, neuf bûchers gigantesques : il sagissait damas considérables de branchages dune sécheresse inouïe, enduits de poix et dhuile afin den faciliter encore la combustion. Dabord étonné, Bergil considéra les étranges assemblages, sans y distinguer dalarmants présages ; il se décida alors à réunir en fagots une bonne quantité de bois quil plaça ensuite sur son dos à laide de solides cordages. Puis lui vint lidée quil pourrait, de sa torche, enflammer lune de ces constructions insolites afin de découvrir quelle était la cause du chahut qui agitait le plafond de la grotte et qui, décidément, lintriguait ; car à mesure que le temps sécoulait, il devenait plus fort, et il navait plus à dresser loreille pour le percevoir. Ravi de cette perspective, il bouta le feu au premier bûcher.
Il y eut un cri strident, et une bête immonde vola à sa rencontre.
Divitiac, à votre humble service pour peu que vous daignez laisser un commentaire
Bergil le Dominateur se dirigea sans hésiter dans le tunnel quil sétait voué et avant longtemps atteignit une salle voûtée à la porte de laquelle il marqua un arrêt de quelques secondes, la main au fourreau et le cur affermi.
Tous ses sens en alerte, Bergil le Jeune fit un pas, la tête renversée en arrière pour scruter les hauteurs de la caverne. Il entendait distinctement, au loin, comme des frottements et des battements dailes, sans rien pouvoir discerner tant lobscurité était épaisse. Cest alors quil remarqua, dressés tout autour de la salle comme de grandes colonnes, neuf bûchers gigantesques : il sagissait damas considérables de branchages dune sécheresse inouïe, enduits de poix et dhuile afin den faciliter encore la combustion. Dabord étonné, Bergil considéra les étranges assemblages, sans y distinguer dalarmants présages ; il se décida alors à réunir en fagots une bonne quantité de bois quil plaça ensuite sur son dos à laide de solides cordages. Puis lui vint lidée quil pourrait, de sa torche, enflammer lune de ces constructions insolites afin de découvrir quelle était la cause du chahut qui agitait le plafond de la grotte et qui, décidément, lintriguait ; car à mesure que le temps sécoulait, il devenait plus fort, et il navait plus à dresser loreille pour le percevoir. Ravi de cette perspective, il bouta le feu au premier bûcher.
Il y eut un cri strident, et une bête immonde vola à sa rencontre.
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