01.09.2004, 12:30
[Hum... et bien oui, j'ai commis des erreurs, certes, je n'en disconviens pas et je l'avais remarqué... seulement le tout début du texte je l'ai fait il y a environ un an et à l'époque mes connaissances tolkieniennes avaient, disons, quelques lacunes, et je n'avais pas vraiement un soucis du détail et de la cohésion poussé... d'ailleurs je ne l'ai toujours pas vraiment... je me sers davantage du monde de Tolkien comme un contexte idéal à une histoire (par exemple, l'histoire d'Argas et de tous ces dragons du Nord, alors qu'ils sont normalement presque tous éteints dans la région, Smaug étant un des derniers dangereux connus... ça manque de crédibilité. ceci dit, reprenons.]
Ils se consultèrent dun regard anxieux, ils échangèrent quelques propos tendus, leur face pâle agitée dombres mouvantes trahissait leur désarroi. Dun côté, de leur union émanait leur force ; mais de lautre ils ne pouvaient négliger le moindre espoir, laisser une quelconque voie exempte de leur passage sans quoi leurs chances de découvrir la seconde porte de lAntre seraient considérablement amoindries. Dun commun accord, ils se séparèrent, après avoir échangé de fraternelles poignées de main. Eldarion prit au centre, Bergil à droite et Faramir à gauche.
Le Prince du Gondor allait dun pas sûr et conquérant à travers les entrailles nauséabondes de la terre qui souvraient devant lui au fur et à mesure de sa course. Des murs aux effigies de pierre magnifiques mais recouvertes dune mousse olivâtre aux relents fétides lentouraient, loppressaient de leur séculaire et calme attente, témoins silencieux des terrifiants événements qui advenaient tandis que loin à la surface de joyeuses populations animaient leurs fêtes et kermesses, psalmodiaient dintemporels cantiques et croyaient fermement à la joie et au bonheur. Brusquement, les parois jusqualors si regroupées se séparèrent, se repoussèrent, laissant place à une salle gigantesque où perçait une lueur diffuse issue, à première vue, du néant dense qui emplissait le lieu. Pourtant Eldarion était plongé dans la pénombre et ne distinguait ni ce qui lui faisait face, ni les contours de la pièce quil jugeait cependant vaste en raison de la profondeur de léchos quentraînait une sourde respiration sépulcrale. Lespace dune seconde, un rayon de lumière égaré vint ricocher sur livoire effrayant dun immense croc humide de salive, loin au dessus du sol.
Divitiac, pour vous servir
Ils se consultèrent dun regard anxieux, ils échangèrent quelques propos tendus, leur face pâle agitée dombres mouvantes trahissait leur désarroi. Dun côté, de leur union émanait leur force ; mais de lautre ils ne pouvaient négliger le moindre espoir, laisser une quelconque voie exempte de leur passage sans quoi leurs chances de découvrir la seconde porte de lAntre seraient considérablement amoindries. Dun commun accord, ils se séparèrent, après avoir échangé de fraternelles poignées de main. Eldarion prit au centre, Bergil à droite et Faramir à gauche.
Le Prince du Gondor allait dun pas sûr et conquérant à travers les entrailles nauséabondes de la terre qui souvraient devant lui au fur et à mesure de sa course. Des murs aux effigies de pierre magnifiques mais recouvertes dune mousse olivâtre aux relents fétides lentouraient, loppressaient de leur séculaire et calme attente, témoins silencieux des terrifiants événements qui advenaient tandis que loin à la surface de joyeuses populations animaient leurs fêtes et kermesses, psalmodiaient dintemporels cantiques et croyaient fermement à la joie et au bonheur. Brusquement, les parois jusqualors si regroupées se séparèrent, se repoussèrent, laissant place à une salle gigantesque où perçait une lueur diffuse issue, à première vue, du néant dense qui emplissait le lieu. Pourtant Eldarion était plongé dans la pénombre et ne distinguait ni ce qui lui faisait face, ni les contours de la pièce quil jugeait cependant vaste en raison de la profondeur de léchos quentraînait une sourde respiration sépulcrale. Lespace dune seconde, un rayon de lumière égaré vint ricocher sur livoire effrayant dun immense croc humide de salive, loin au dessus du sol.
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