04.06.2004, 20:24
P our enfin revenir à lobscure et abjecte
E ngeance quest les orcs qui parcourent ces terres,
T oute description ne saurait satisfaire,
I gnorants que nous sommes de leur laideur suspecte ;
T entons donc simplement déprouver lâme en fer
E t laissons au néant leur si pauvre intellect.
A vant toute autre chose, admirez leurs vertus
C ommunes et barbares : ils nont point ce courage
R igidement ancré chez les alfes à tout Âge,
O ubliant tout de leur origine perdue.
S aintement et dévotement ils obéissent
T oujours aveuglément à leur Maître et Seigneur ;
I l a tôt fait couler leur sang au champ dhorreur :
C omme noire nuée, il vont et démolissent
H onteusement ce que les hommes ont, par leur labeur,
E bauché dans ce monde de guerre et supplices.
S ur leurs âmes blanchies à la chaux dIsengard
U n noir nuage pèse et leur ôte Victoire,
R oyaume et Royauté au profit de leur Dieu.
L es attaques quils mènent ne leur apportent rien ;
E t leur joie animale aux massacres païens
S outient seule leur ardeur aux combats odieux.
O h vraiment rien nest pire, rien nest moins agréable,
R ien na plus hideux nom que ce peuple maudit ;
C omme il proliférait, les hommes ont bondis
S urprendre leur troupeaux et les gorger de sable.
Divitiac, qui a fait long mais avec des alexandrins souvent bancals...
E ngeance quest les orcs qui parcourent ces terres,
T oute description ne saurait satisfaire,
I gnorants que nous sommes de leur laideur suspecte ;
T entons donc simplement déprouver lâme en fer
E t laissons au néant leur si pauvre intellect.
A vant toute autre chose, admirez leurs vertus
C ommunes et barbares : ils nont point ce courage
R igidement ancré chez les alfes à tout Âge,
O ubliant tout de leur origine perdue.
S aintement et dévotement ils obéissent
T oujours aveuglément à leur Maître et Seigneur ;
I l a tôt fait couler leur sang au champ dhorreur :
C omme noire nuée, il vont et démolissent
H onteusement ce que les hommes ont, par leur labeur,
E bauché dans ce monde de guerre et supplices.
S ur leurs âmes blanchies à la chaux dIsengard
U n noir nuage pèse et leur ôte Victoire,
R oyaume et Royauté au profit de leur Dieu.
L es attaques quils mènent ne leur apportent rien ;
E t leur joie animale aux massacres païens
S outient seule leur ardeur aux combats odieux.
O h vraiment rien nest pire, rien nest moins agréable,
R ien na plus hideux nom que ce peuple maudit ;
C omme il proliférait, les hommes ont bondis
S urprendre leur troupeaux et les gorger de sable.
Divitiac, qui a fait long mais avec des alexandrins souvent bancals...