02.05.2004, 00:35
Voilà une deuxième version largement revue du poème, le deuxième épisode si on veut, comme je trouvais le premier un peu bancal...
Eh salut ! toi petit hobbit !
Cher vieil ami aux pieds velus ;
Invite toi chez moi bien vite
Déguster quelques fraîch morues.
Parle moi donc de ta vie tranquille,
Le nez enfoui dans le terreau,
Carottes, champignons, herbe, persil
Rien néchappe à ton vieux rateau..
Mais prends donc de cette Longoulet,
Car je lai faite venir exprès
Dans le but, dadmirer tes ronds
De fumée, non pas de savon !
Mais passons donc aux choses sérieuses
Remédions vite à nos gorges creuses.
Je vois sous ton bras un tonneau
Qui déborde mais pas vraiment deau !
Tandis que la mousse nous imbibe
Et que nos pets sécoulent par bribes
Enchante moi de tes chansons
Les toutes dernières de cette saison
Puis les libbations se terminent,
Nos yeux ne sont plus quopalines.
Voici lheure de ten retourner
Ne jamais manquer son dîner !
Eh salut ! toi petit hobbit !
Cher vieil ami aux pieds velus ;
Invite toi chez moi bien vite
Déguster quelques fraîch morues.
Parle moi donc de ta vie tranquille,
Le nez enfoui dans le terreau,
Carottes, champignons, herbe, persil
Rien néchappe à ton vieux rateau..
Mais prends donc de cette Longoulet,
Car je lai faite venir exprès
Dans le but, dadmirer tes ronds
De fumée, non pas de savon !
Mais passons donc aux choses sérieuses
Remédions vite à nos gorges creuses.
Je vois sous ton bras un tonneau
Qui déborde mais pas vraiment deau !
Tandis que la mousse nous imbibe
Et que nos pets sécoulent par bribes
Enchante moi de tes chansons
Les toutes dernières de cette saison
Puis les libbations se terminent,
Nos yeux ne sont plus quopalines.
Voici lheure de ten retourner
Ne jamais manquer son dîner !