13.04.2021, 18:19
J'avoue n'avoir pas vu de lien clair entre le son et le nombre que représentent les runes codant une lettre et un chiffre :
- 1 : i
- 2 : o (si la conjecture de Dan Smith est correcte)
- 3 : ö
- 4 : [néant]
- 5 : n
Les trois premiers chiffres laissent penser à une association avec les voyelles, mais cela ne fonctionne pas pour la suite.
On pourrait également supposer une association avec le nom du chiffre dans une langue donnée (khuzdul ?), mais on bute sur le 4, qui ne correspond à aucun cirth alphabétique.
Le plus probable à mes yeux reste un système de numération de type approximativement additif, s'inspirant peut-être de la numération romaine. Seul le 5 fait obstacle à cette interprétation, encore qu'il soit parfaitement envisageable que le signe représenté sur le Livre de Mazarbul soit une simplification d'un signe ancien plus complexe (de même que les signes X, L, C ou M sont des simplifications des signes italiques originels).
- 1 : i
- 2 : o (si la conjecture de Dan Smith est correcte)
- 3 : ö
- 4 : [néant]
- 5 : n
Les trois premiers chiffres laissent penser à une association avec les voyelles, mais cela ne fonctionne pas pour la suite.
On pourrait également supposer une association avec le nom du chiffre dans une langue donnée (khuzdul ?), mais on bute sur le 4, qui ne correspond à aucun cirth alphabétique.
Le plus probable à mes yeux reste un système de numération de type approximativement additif, s'inspirant peut-être de la numération romaine. Seul le 5 fait obstacle à cette interprétation, encore qu'il soit parfaitement envisageable que le signe représenté sur le Livre de Mazarbul soit une simplification d'un signe ancien plus complexe (de même que les signes X, L, C ou M sont des simplifications des signes italiques originels).
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland