14.10.2019, 13:56
Que Sméagol soit censé être du vieil anglais, rien de plus certain : il est dérivé de l'adjectif (apparemment) attesté sméah "s'insinuant, pénétrant".
Après, les questions devraient être de savoir si (1) Tolkien considère ce terme comme appartenant au dialecte mercien du vieil anglais, dont les règles de prononciations pourraient éventuellement différer de celles du saxon occidental ; (2) Tolkien avait une opinion divergente du consensus moderne sur la manière de prononcer le vieil anglais ; (3) en dépit d'un avis convergent, il lui arrivait de commettre des erreurs de prononciations.
Pour (1), je ne saurais dire et j'en appelle à mieux informé (Corchalad ?) ; pour (2), il faudrait regarder les textes académiques de Tolkien relatifs à la prononciation en lien avec Beowulf ; pour (3), il faudrait chercher à vérifier la répétabilité de la prononciation d'un même son dans différents mots vieil-anglais dans ses différents enregistrements.
Après, les questions devraient être de savoir si (1) Tolkien considère ce terme comme appartenant au dialecte mercien du vieil anglais, dont les règles de prononciations pourraient éventuellement différer de celles du saxon occidental ; (2) Tolkien avait une opinion divergente du consensus moderne sur la manière de prononcer le vieil anglais ; (3) en dépit d'un avis convergent, il lui arrivait de commettre des erreurs de prononciations.
Pour (1), je ne saurais dire et j'en appelle à mieux informé (Corchalad ?) ; pour (2), il faudrait regarder les textes académiques de Tolkien relatifs à la prononciation en lien avec Beowulf ; pour (3), il faudrait chercher à vérifier la répétabilité de la prononciation d'un même son dans différents mots vieil-anglais dans ses différents enregistrements.
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland