20.03.2004, 15:30
Mais sil navait été renversé par la queue sifflante de lanimal, il nen avait pas moins été menacé de mort lorsque, dun brusque mouvement, le dragon sétait retourné ; mais saccrochant aux fines aspérités de son armure, le nain avait gravi son flanc et sétait dressé sur son dos, sur son cou. Une fois encore, il était à la merci de sa proie ; quelle se roule au sol et cen était fini de lui. Mais Morgoth le Ténébreux avait doté ses créatures dune protection si puissante que leur sensibilité sen était trouvée grandement affaiblie, et le jeune ver ne pouvait percevoir les grandes enjambées de la créature qui allait lentraîner à son trépas.
Balin leva sa hache, et labattit sur lépine dorsale du monstre. Il recommença le mouvement, encore et encore, et à chaque coup los énorme craquait si horriblement quon aurait cru entendre un tremblement de terre. Mais même ce bruit de tonnerre fut couvert par les hurlements déchaînés de la victime. Tout son corps tremblait, sagitait de spasmes dagonie, sa queue battait lair inutilement, sa langue fourchue se tournait et se retournait dans sa gueule aux crocs miroitants, ses yeux roulaient, emplis de colère et deffroi, et enfin il fit un tel dérangement que tout les combattants alentours sarrêtèrent et tournèrent leur regard vers lhorrible mort du dragon.
Alors les curs des Nains se raffermirent encore, et leur vaillance fut plus grande, et leur ardeur au combat plus grande, car ils entrevirent là lespoir dune victoire possible. Mais Balin, lui, neut plus le loisir de se réjouir car la mort lavait pris en même temps que sa victime. Nayant plus se retenir aux lisses écailles qui bordaient la tête de lanimal, il avait glissé au sol et là sétait retrouvé écrasé sous son corps massif.
Divitiac, vers la fin de mon récit et au-delà !
Balin leva sa hache, et labattit sur lépine dorsale du monstre. Il recommença le mouvement, encore et encore, et à chaque coup los énorme craquait si horriblement quon aurait cru entendre un tremblement de terre. Mais même ce bruit de tonnerre fut couvert par les hurlements déchaînés de la victime. Tout son corps tremblait, sagitait de spasmes dagonie, sa queue battait lair inutilement, sa langue fourchue se tournait et se retournait dans sa gueule aux crocs miroitants, ses yeux roulaient, emplis de colère et deffroi, et enfin il fit un tel dérangement que tout les combattants alentours sarrêtèrent et tournèrent leur regard vers lhorrible mort du dragon.
Alors les curs des Nains se raffermirent encore, et leur vaillance fut plus grande, et leur ardeur au combat plus grande, car ils entrevirent là lespoir dune victoire possible. Mais Balin, lui, neut plus le loisir de se réjouir car la mort lavait pris en même temps que sa victime. Nayant plus se retenir aux lisses écailles qui bordaient la tête de lanimal, il avait glissé au sol et là sétait retrouvé écrasé sous son corps massif.
Divitiac, vers la fin de mon récit et au-delà !