07.07.2019, 10:54
(Modification du message : 07.07.2019, 10:55 par Chiara Cadrich.)
Bonjour Sam.
J'imagine que le Roi-Sorcier a déjà, lors de sa victoire à la grande bataille des Hauts des Morts en TA 1409, installé des horreurs dans les tombes. Si je me rappelle bien, l'un des hobbits, tiré de son sommeil morbide au cœur d'un galgal, s'écrie que "les hordes de Carn Dûm leur sont tombées dessus en pleine nuit." Pour moi les êtres des galgals sont liés à cette terrible boucherie, où l'espoir des hommes a péri.
S'appuyer sur les peurs latentes, ancestrales des hommes était à la fois habile et facile pour le roi-sorcier, puisque nombre de croyances humaines sont élaborées pour répondre à la crainte de la mort. On peut imaginer que la terreur des galgals est l'un des facteurs qui a réduit la capacité d'Arthedain de reprendre le contrôle de Cardolan, ou du moins de l'artère vitale du chemin vert.
C'est pourquoi ce petit conte commence dans l'entre-deux des horreurs réelles et de la superstition. Dans ces temps troublés (chute récente de Cardolan), les superstitions refont surface. Là je m'appuie sur le folklore celtique, qui crée des ponts avec l'autre monde, en particulier celui des morts lors de certaines nuits.
Merci pour ta lecture attentive !
Mais ce n'est pas fini...
J'imagine que le Roi-Sorcier a déjà, lors de sa victoire à la grande bataille des Hauts des Morts en TA 1409, installé des horreurs dans les tombes. Si je me rappelle bien, l'un des hobbits, tiré de son sommeil morbide au cœur d'un galgal, s'écrie que "les hordes de Carn Dûm leur sont tombées dessus en pleine nuit." Pour moi les êtres des galgals sont liés à cette terrible boucherie, où l'espoir des hommes a péri.
S'appuyer sur les peurs latentes, ancestrales des hommes était à la fois habile et facile pour le roi-sorcier, puisque nombre de croyances humaines sont élaborées pour répondre à la crainte de la mort. On peut imaginer que la terreur des galgals est l'un des facteurs qui a réduit la capacité d'Arthedain de reprendre le contrôle de Cardolan, ou du moins de l'artère vitale du chemin vert.
C'est pourquoi ce petit conte commence dans l'entre-deux des horreurs réelles et de la superstition. Dans ces temps troublés (chute récente de Cardolan), les superstitions refont surface. Là je m'appuie sur le folklore celtique, qui crée des ponts avec l'autre monde, en particulier celui des morts lors de certaines nuits.
Merci pour ta lecture attentive !
Mais ce n'est pas fini...