07.03.2004, 18:51
Eldarion mit à ses doigts cinq des anneaux hommes, et il sentit un pouvoir si grand entrer en lui quil cria de souffrance en se roulant sur le sol, dans la poussière et dans le froid ; mais il se refusa à en ôter le moindre et, petit à petit, il parvint à supporter le pouvoir nouveau qui courrait dans ses veines, et il vint même à le dominer. De la race des anciens Numeroréens, son courage et sa volonté étaient grande, et grande aussi était son habileté : dans la tour de Minas Anglachel, le Roi Eldarion, fils du Roi Elessar, reforgea cinq des Neufs en lanneau de Barahir, lequel devint si puissant que nul mortel autre que lui ne pouvait le toucher sans sentir ses mains se consumer, et ainsi à sa mort lanneau de Barahir ne put échoir à personne et sombra un temps dans loubli, avant de ressurgir dans la suite des âges.
Faramir se choisit les derniers des Sept, mais ne les unit pas et toujours ils restèrent séparés. Il ne devait pas réussir à imposer sa volonté à ses anneaux, dailleurs forgés pour les Nains, et dont seuls les Nains parvenaient à tirer leur puissance cachée. Ces anneaux devaient même conduire à la mort de Faramir au pied du Mont Solitaire, lorsque, talonnés par une horde de gobelins rendus furieux par leur vue, il était tombé dans un piège grossier tendu par le reste du peuple de Durin en Erebor.
Divitiac, qui espère que son inspiration ne tarira pas
Faramir se choisit les derniers des Sept, mais ne les unit pas et toujours ils restèrent séparés. Il ne devait pas réussir à imposer sa volonté à ses anneaux, dailleurs forgés pour les Nains, et dont seuls les Nains parvenaient à tirer leur puissance cachée. Ces anneaux devaient même conduire à la mort de Faramir au pied du Mont Solitaire, lorsque, talonnés par une horde de gobelins rendus furieux par leur vue, il était tombé dans un piège grossier tendu par le reste du peuple de Durin en Erebor.
Divitiac, qui espère que son inspiration ne tarira pas