18.04.2019, 07:40
Que dire de « nonne » ou de « couvent » ? Que les Contes perdus, dans lesquels s'inscrit le vocabulaire du « Qenya Lexicon », étaient supposés se passer dans les premiers siècles de notre ère, au moment des invasions barbares. Et donc que le contexte se prêtait parfaitement à ce type de vocabulaire. Ce qui n'est absolument pas le cas pour le SdA, censé se passer quelques millénaires avant J.-C.
Par conséquent, ce n'est pas un vocabulaire qu'on pourrait mixer avec de l'adûnaïque, par exemple. Du moins si l'on souhaite écrire un scénario cohérent de JdR dans le cadre de la Terre du Milieu. D'où le fait que la nature du JdR ait son importance. Si c'est pour un JdR sans rapport avec l'œuvre de Tolkien, effectivement, on peut tout mélanger sans difficultés... mais on peut aussi inventer son propre vocabulaire, voire sa propre langue.
NB : pour les cinq prières catholiques publiées dans les VT 43 et 44, de fait, cela sort entièrement de l'univers que Tolkien avait bâti par ailleurs. Mais ce n'est pas un hasard si elles ont été écrites pour son propre plaisir et jamais intégrées à l'un de ses récits...
Par conséquent, ce n'est pas un vocabulaire qu'on pourrait mixer avec de l'adûnaïque, par exemple. Du moins si l'on souhaite écrire un scénario cohérent de JdR dans le cadre de la Terre du Milieu. D'où le fait que la nature du JdR ait son importance. Si c'est pour un JdR sans rapport avec l'œuvre de Tolkien, effectivement, on peut tout mélanger sans difficultés... mais on peut aussi inventer son propre vocabulaire, voire sa propre langue.
NB : pour les cinq prières catholiques publiées dans les VT 43 et 44, de fait, cela sort entièrement de l'univers que Tolkien avait bâti par ailleurs. Mais ce n'est pas un hasard si elles ont été écrites pour son propre plaisir et jamais intégrées à l'un de ses récits...
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland