01.03.2004, 22:03
Un autre homme devait échapper au destin de ses compagnons, et cétait Bergil, fils de Beregond. Lorsque le fils dAragorn sétait retrouvé face aux Haradrims hurlants, il avait glissé les anneaux dans un pli de sa cape, mais celle-ci avait glissée lors de laffrontement et le jeune Bergil était parvenu à sen emparer et, les Neufs et les derniers des Sept sur lui, il avait fui tant quil le pouvait, passant lancien du Roi Sorcier à son doigt afin déchapper aux regards de ses poursuivants.
Alors quil errait vers le sud du Noir Pays, il advint quil rencontra un Warg à lair efflanqué, et une grande terreur le prit. Puis il se souvint que son anneau était toujours à son doigt, et il se sentit invisible à toute créature mortelle. Pourtant lanimal fixa ses yeux flamboyants sur lui, et il perçut plus quil nentendit les paroles de ce serviteur de lEnnemi déchu.
Alors ils conversèrent longuement, car linfecte créature était encline à obéir à ce maître quelle percevait comme le sien et pourtant une hésitation dans sa volonté la rendait réticente. Mais Bergil finit par la dompter mentalement car elle était faible et affamée, et il put la chevaucher pour se rendre encore plus au sud, et tout au long des lieues quil parcourait il sentraîner à exercer son esprit au commandement, et bientôt sa monture partagea sa pensée et nagissait que sur ses ordres. Alors il lappela Malereg, le Houx dOr, et jusquà sa mort elle suivit Bergil où quil aille et de quelque côté quil se tourne. Mais pour le moment Bergil le jeune affermissait sa volonté et bientôt il put mentalement empêcher de petits groupes dorcs errants de sen prendre à lui, et il sema la discorde en leurs curs et devant lui ils sentretuèrent. Alors il comprit le pouvoir dont il disposait et il pensa tout dabord à faire en sorte que tous les derniers serviteurs de lEnnemi se fassent une guerre sans merci aboutissant à leur totale défaite. Puis il pensa que sil pouvait les commander, ils pourraient faire le bien et à cet instant il sut quil deviendrait le plus grand des hommes de son temps, bien quil ne pensât pas encore quil finirait comme il allait le faire, et alors les pensées de son curs étaient encore nobles et fières, et seules de bonnes intentions lui faisait prendre cette décision.
Il passa de plus en plus de temps lanneau au doigt, et il contemplait les autres, et il se demandait ce quil adviendrait sil mettait tous à ses doigts. Alors il eut peur de ce terrible pouvoir et pendant quelque jours il ne mit plus lanneau du Roi Sorcier. Mais il vit que sa volonté fléchissait et que les orcs qui lentouraient conversaient entre eux, alors cette nouvelle crainte fut la plus forte et il remit son anneau. Cest ainsi quil arriva dans la province de Nurn, et quil allait à lest vers la Mer Intérieure.
Divitiac
Alors quil errait vers le sud du Noir Pays, il advint quil rencontra un Warg à lair efflanqué, et une grande terreur le prit. Puis il se souvint que son anneau était toujours à son doigt, et il se sentit invisible à toute créature mortelle. Pourtant lanimal fixa ses yeux flamboyants sur lui, et il perçut plus quil nentendit les paroles de ce serviteur de lEnnemi déchu.
Alors ils conversèrent longuement, car linfecte créature était encline à obéir à ce maître quelle percevait comme le sien et pourtant une hésitation dans sa volonté la rendait réticente. Mais Bergil finit par la dompter mentalement car elle était faible et affamée, et il put la chevaucher pour se rendre encore plus au sud, et tout au long des lieues quil parcourait il sentraîner à exercer son esprit au commandement, et bientôt sa monture partagea sa pensée et nagissait que sur ses ordres. Alors il lappela Malereg, le Houx dOr, et jusquà sa mort elle suivit Bergil où quil aille et de quelque côté quil se tourne. Mais pour le moment Bergil le jeune affermissait sa volonté et bientôt il put mentalement empêcher de petits groupes dorcs errants de sen prendre à lui, et il sema la discorde en leurs curs et devant lui ils sentretuèrent. Alors il comprit le pouvoir dont il disposait et il pensa tout dabord à faire en sorte que tous les derniers serviteurs de lEnnemi se fassent une guerre sans merci aboutissant à leur totale défaite. Puis il pensa que sil pouvait les commander, ils pourraient faire le bien et à cet instant il sut quil deviendrait le plus grand des hommes de son temps, bien quil ne pensât pas encore quil finirait comme il allait le faire, et alors les pensées de son curs étaient encore nobles et fières, et seules de bonnes intentions lui faisait prendre cette décision.
Il passa de plus en plus de temps lanneau au doigt, et il contemplait les autres, et il se demandait ce quil adviendrait sil mettait tous à ses doigts. Alors il eut peur de ce terrible pouvoir et pendant quelque jours il ne mit plus lanneau du Roi Sorcier. Mais il vit que sa volonté fléchissait et que les orcs qui lentouraient conversaient entre eux, alors cette nouvelle crainte fut la plus forte et il remit son anneau. Cest ainsi quil arriva dans la province de Nurn, et quil allait à lest vers la Mer Intérieure.
Divitiac