01.03.2004, 10:54
Et bien rebonjour tout le monde, je suis de retour, et voici un peu de suite à ma nouvelle (qu'on me pardonne, le rythme reste le même... j'espère que la fluidité aussi)
Eldarion fut devant lOrodruin comme lavait été autrefois son ancêtre Isildur, mais il se sentait capable danéantir les Neufs et les derniers des Sept, et il nhésita pas à avancer jusquau bord même du gouffre où ses compagnons répugnèrent à le rejoindre ; seul Bergil, fils de Beregond, sentait courir dans ses veines un vent de feu qui le poussait en avant, aux côtés de son suzerain. Mais lorsquEldarion leva sa main emplie des joyaux, il ne put sempêcher de sélancer et de retenir lacte qui détruirait toute la puissance perdue du Mordor, et il cria, et il implora son seigneur dépargner ces anneaux qui, disait-il, avait été créé non pas par le Seigneur Ténébreux mais par les Peuples Libres pour lutter contre lui, et que les annihiler redresserait la grandeur déchue des Royaumes des Mauvais Hommes. Alors le fils dAragorn fléchit, et lhésitation et le doute le firent réfléchir, et les Haradrims attaquèrent. Ils sétaient rassemblé et, se donnant courage les uns aux autres, ils avaient aiguisé leurs haches et assaillaient la maigre escorte inexpérimentée du Roi.
Ils navaient jamais combattu ; au plus avait-il participé au Grand Tournoi quavait instauré le Roi Elessar. Aussi la haine des hommes du sud fut-elle pour eux aussi éprouvante quavait pu lêtre pour deux hobbits la vue dun Mordor infesté dorcs lors de la Guerre de lAnneau, du temps de la grandeur de Sauron. Leurs étendards, si brillant linstant précédent, furent jetés bas et souillés de boue et de sang ; leurs armes de parades qui avaient dabord tellement impressionné les Haradrims étaient cabossées, arrachées, brisées. Ils tombèrent sous le nombre et la férocité, et seuls les plus vieux qui avaient connu des batailles savaient comment préserver leur vie ; aussi le sang coula en petit ruisseaux, traçant de fins sillons dans la terre meuble des rives de lOrodruin, et cette attaque fut appelée la Bataille des Pleurs Perdus. Narahir, fils de Faramir, rendit lâme et son corps beau et élancé saffala parmi ses habits dor, dargent et de pourpre. Les seuls survivants de ce massacre furent Imrahil de Dol Amroth qui parvint à tailler de la pointe de son épée une voie de sortie pour lui et son seigneur ; mais le Roi devait se faire faire prisonnier avec Faramir et Imrahil, gagnant au galop les hauteurs de la Montagne du Destin où les hommes du sud nosaient le poursuivre, jura de délivrer son seigneur dès quil le pourrait ; aussi se mit-il en route pour Minas Tirith où se trouvaient les surs dEldarion.
Divitiac
Eldarion fut devant lOrodruin comme lavait été autrefois son ancêtre Isildur, mais il se sentait capable danéantir les Neufs et les derniers des Sept, et il nhésita pas à avancer jusquau bord même du gouffre où ses compagnons répugnèrent à le rejoindre ; seul Bergil, fils de Beregond, sentait courir dans ses veines un vent de feu qui le poussait en avant, aux côtés de son suzerain. Mais lorsquEldarion leva sa main emplie des joyaux, il ne put sempêcher de sélancer et de retenir lacte qui détruirait toute la puissance perdue du Mordor, et il cria, et il implora son seigneur dépargner ces anneaux qui, disait-il, avait été créé non pas par le Seigneur Ténébreux mais par les Peuples Libres pour lutter contre lui, et que les annihiler redresserait la grandeur déchue des Royaumes des Mauvais Hommes. Alors le fils dAragorn fléchit, et lhésitation et le doute le firent réfléchir, et les Haradrims attaquèrent. Ils sétaient rassemblé et, se donnant courage les uns aux autres, ils avaient aiguisé leurs haches et assaillaient la maigre escorte inexpérimentée du Roi.
Ils navaient jamais combattu ; au plus avait-il participé au Grand Tournoi quavait instauré le Roi Elessar. Aussi la haine des hommes du sud fut-elle pour eux aussi éprouvante quavait pu lêtre pour deux hobbits la vue dun Mordor infesté dorcs lors de la Guerre de lAnneau, du temps de la grandeur de Sauron. Leurs étendards, si brillant linstant précédent, furent jetés bas et souillés de boue et de sang ; leurs armes de parades qui avaient dabord tellement impressionné les Haradrims étaient cabossées, arrachées, brisées. Ils tombèrent sous le nombre et la férocité, et seuls les plus vieux qui avaient connu des batailles savaient comment préserver leur vie ; aussi le sang coula en petit ruisseaux, traçant de fins sillons dans la terre meuble des rives de lOrodruin, et cette attaque fut appelée la Bataille des Pleurs Perdus. Narahir, fils de Faramir, rendit lâme et son corps beau et élancé saffala parmi ses habits dor, dargent et de pourpre. Les seuls survivants de ce massacre furent Imrahil de Dol Amroth qui parvint à tailler de la pointe de son épée une voie de sortie pour lui et son seigneur ; mais le Roi devait se faire faire prisonnier avec Faramir et Imrahil, gagnant au galop les hauteurs de la Montagne du Destin où les hommes du sud nosaient le poursuivre, jura de délivrer son seigneur dès quil le pourrait ; aussi se mit-il en route pour Minas Tirith où se trouvaient les surs dEldarion.
Divitiac