(30.05.2018, 23:40)Chiara Cadrich a écrit : - Les rangers d'Arnor, véritable caste de milice noble, sont impensables sans des racines profondes dans une population durablement suffisante. Le romantisme est cette profession de foi de 1000 ans des Dunedain. Je réfute le schéma selon lequel Eriador est pratiquement désert (comme cela peut apparaître à la lecture du SdA à la fin du 3ème âge) : largement dépeuplé d'accord, mais il faut des bases arrières nombreuses et protégées ainsi que des "centres spécialisés" pour produire et soutenir une force d'élite. Il faut en outre que cette force assure sa propre succession et un haut niveau de formation pour maintenir sa culture, son idéal, ses capacités civiles autant que militaires.
Je ne sais pas car on a très peu d'indications sur l'Arnor. Mais on sait que les Dùnedain étaient un peuple errant, vivant caché, ayant peu de capacités autant culturelles que militaires :
Citation :When the kingdom ended the Dunedain passed into the shadows and became a secret and wandering people, and their deeds and labours were seldom sung or recorded.
App. A.
Je pense qu'il est difficile de parler d'une "unité d'élite", et qu'elle soit dans la continuité d'une unité créée par l'Arnor.
Mais une garde ayant un autre nom a pu exister sans nul problème pour moi

Pour donner une comparaison, les "résistants des maquis" (mots très marqués) n'ont pas eu besoin d'être anticipés par une garde du même type (et appelée pareil) dans les décennies précédentes.